Courgettes rondes farcies végétariennes

Courgettes rondes farcies végétariennes
Ingrédients
- 4 courgettes rondes
- 1 poivron
- 80 g quinoa (ou riz)
- 30 ml huile d'olive
- 90 gr oignon jaune
- 1 gousse d'ail
- 1 tomate
- sel, poivre
Enfin ! Les foires sont de retour !
En respectant les règles sanitaires bien sûr, Florence et Olivier vous accueilleront sur leur stand les 19 et 20 juin 2021 de 10h à 20h !
En cette occasion nous vous avons réservé une surprise !
Pour ne pas perdre de temps, réservez directement votre commande en ligne et venez la récupérer directement à la foire !
Vous n’allez pas à la foire mais voulez nous passer commande ? Pas de problèmes ! Pour plus de 36 bouteilles commandées Olivier vous livrera gratuitement à domicile.
Votre commande peut également être livrée gratuitement à un point de livraison proche de chez vous (à définir lors de la confirmation de commande).
Au début du XXe siècle, le vignoble français souffre de l’attaque de parasites et champignons, notamment du cruel phylloxera, destructeur massif des vignes européennes.
Alors que le commerce vinicole bat son plein, la production de vin ne peut même plus répondre à la demande nationale. C’est la pénurie.
Cependant, la science et l’ingéniosité de paysans combattent les parasites grâce à la greffe d’un plant américain résistant avec un plant français de qualité.
S’ensuit une période de travail intense où les vignes sont replantées par milliers, au détriment des cépages traditionnels. La production qui en découle est malheureusement mal maîtrisée, trop importante.
Résultats : une surproduction de vin et une baisse indéniable de leur qualité.
En outre, afin de réduire cette période de carence, d’autres combines voient le jour :
Ces fraudes et la surproduction due au fort rendement des jeunes vignes de basse qualité, entraînent une “chute du cours du vin”. Dans les bistrots, le vin n’est plus vendu “au verre”, ni “à la bouteille”, mais “à l’heure”. Les vignerons sont ruinés.
En 1907, Les vignerons du Languedoc-Roussillon défilent dans les rues de Béziers en brandissant :
« Abèré tant de boun bi et pas pourré mangea de pan !* »
*Avoir tant de bon vin et pas pouvoir manger du pain !
C’est la révolution des gueux, la plus grande manifestation de la troisième république. La rue obtient enfin raison en juin 1907 avec la création du Service de la Répression des Fraudes, qui prône exclusivement la fabrication de “Vin naturel”.
Par décret de 1935 le gouvernement crée les Appellations d’Origine Contrôlées (AOC), devenues Appellations d’Origine Protégées (AOP) en 2012. Ces labels sont européens.
Une AOC identifie un produit, en l’occurrence un vin en s’appuyant sur trois critères :
Les appellations valorisent les différentes composantes de la fameuse notion de terroir que sont le climat, le sol, l’exposition, la géographie, les cépages. Les AOC/AOP apprécient aussi les compétences des vignerons.
Le paysan dompte la nature pour cultiver la vigne et rend hommage aux potentialités dudit terroir, un peu comme “un chef d’orchestre guide ses musiciens ».
L’appellation Bordeaux apparaît en 1936, suivent celles de Saint-Émilion en 1954 et Pessac Léognan en 1987. En 2009, les AOP valorisent enfin le superbe terroir des Côtes de Bordeaux, avec ses coteaux dominants les rives de la Garonne. Cette appellation Côte de Bordeaux est un véritable gage de qualité.
Elle met en exergue :
En 2021, en Gironde, 65 AOP illustrent la luxuriance des différents terroirs bordelais.
Pour rester un des meilleurs atouts de reconnaissance internationale, les AOP se doivent d’évoluer en prenant en compte les problématiques liées au respect de l’environnement.
Le changement climatique et notamment l’augmentation des températures, les obligent à modifier leur cahier des charges.
Si les AOP/AOC réussissent à s’adapter, elles aideront la viticulture française à rester une référence
mondiale.
Epamprer, émonder, écimer ou fauciller, sécailler, tracer une raye, se mettre au tail ! Mettre sa roue contre la muraille et tourner la terre amoureuse, prendre un bigo, remplir les bastes et les botiches, chausser le plantier, tailler les pointes ou les courtissons, tailler court ou tailler long…
Avoir un dimanche, bonder ses barriques avec une aste puis les mettre bonde de côté, lire la Pravda, chercher goupil avec un tube et enfin faire la gerbaude ou la paulée !
Ce dialecte façonne le quotidien de nos vies de vignerons comme nous modelons les paysages avec nos rangs de vignes. Il désigne un travail, un savoir-faire. Il provient souvent du patois et d’observations.
C’est ainsi que le vigneron novice, par l’apprentissage de cet idiome, comprend les bonnes attitudes et transforme ces mots en geste. Au départ hésitant, il lui faut 2 à 3 saisons pour tailler les vignes de manière opérationnelle.
La première année il assimile le mouvement, la seconde la vitesse, puis la troisième le pragmatisme !
Chaque pied de vigne est singulier et le « bien tailler » des livres et d’internet n’existe pas. Le vigneron doit tailler comme il le ressent. C’est ainsi que les bons gestes font les bonnes récoltes !
Enlever les rameaux infertiles poussant sur le vieux bois du cep.
Vérifier le palissage des rangs, piquets (les carassons) et fils de fer.
Couper la cime du rang en utilisant la faucille.
Pendant les vendanges, grands récipients, portés à deux pour transporter le raisin de la vigne au pressoir.
Labourer de la terre collante, argileuse
Mettre des bouchons aux barriques.
Rouler la roue du tracteur contre le sillon de charrue.
Labourer une vigne venant d’être plantée.
Lire le journal de l’interprofession (Union girondine) qui se satisfait d’elle-même et encense les actions dites de promotion faites par le CIVB (Comité Interprofessionnel des Vins de Bordeaux).
Ces actions sont financées grâce à des cotisations volontaires et obligatoires rackettées aux vignerons sans que les cotisants n’aient de droit de regard.
Tailler les rangs les plus courts d’une parcelle.
Avoir des pieds manquants dans un rang. Cela permet d’avancer sans se fatiguer 😉
Incliner la barrique afin d’améliorer la conservation
Se mettre au travail !!
Chasser le renard…
Grande fête qui achève les vendanges.
Tracteur embourbé, gel dans les vignes, prêt d’outils,… autant de services échangés qui font la richesse de l’entraide entre paysans vignerons…
Jean-François est un ami de très longue date (40 ans déjà…). Nous avons usé nos shorts sur le banc de l’école de viticulture, la célèbre Ecole de La Tour Blanche en Sauternais.
Il viendra avec sa merveilleuse machine (tracteur et pré-tailleuse) en Janvier pour préparer la taille et grandement faciliter le travail pénible et harassant de la tombée des bois*.
* tombée des bois : consiste à enlever les sarments du rang de vigne après la taille. Ils sont ensuite mis au sol pour être broyés et retournent au sol comme divin humus.
Le téléphone sonne. A la vue du nom affiché c’est Thierry notre très sympathique voisin vigneron du Château Brethous de Camblanes. Toujours un mot pour rire celui-là !!
Thierry : Salut Olivier ça va ?
Moi (Olivier) : Pas si mal sauf que le temps n’est pas à la fête !!! ce mois de février est bien trop pluvieux tu ne trouves pas ?
Thierry : Pour nous ça va. Mais on a besoin de ton aide, on a embourbé le tracteur et on n’arrive pas à se sortir. Peux-tu venir avec ton tracteur et le grand câble pour nous remorquer ?
Moi : (sur un ton moqueur) No stress mon ami ! Je dis à Nicolas de te rejoindre avec le tracteur. Il arrive dans 1/2 heure.
Pour ma part je ferais mieux de ne pas faire le fanfaron car la prochaine fois je sais bien que ça sera certainement à notre tour de demander leur aide !! Je viendrai leur demander un outil aratoire*, un outil d’atelier, ou bien nous faire remorquer. Avec des météos pluvieuses comme cet hiver on est vite en situation compliquée.
* outil aratoire : outil servant au travail du sol
… ce qui a été également le cas dans beaucoup d’autres coins …
En effet un retour de froid hivernal a eu raison d’une partie des bourgeons naissants. Que d’espoirs déçus… Mais plus que tout ce qui nous réconforte est la solidarité paysanne.
Après 2 fins de nuit à tenter de réchauffer l’atmosphère avec de vieux pieds de vigne, nous prenons chaque fois un temps convivial entre voisins.
Si les feux ont réchauffé que très légèrement l’air ambiant, ils auront au moins servi au barbecue de côte d’agneau, ventrèche et œufs au plat.
Le tout s’accompagne d’un vin rouge Camblanais du Château Brethous 2016 : un délice pour vous remonter le moral !
A la pointe du jour, et malgré tout l’effort de la nuit, la sensation de se dire que nous avons perdu une partie de la récolte, se noie ainsi dans l’amitié.
Ainsi va la solidarité agricole active et l’entraide entre voisins, en résumé l’amitié. Et toutes ces situations finissent toujours autour d’un verre de Claret d’une nuit.
Et Le Claret a cette merveilleuse fonction, il délie les langues.
Assez vite le ton de la conversation prendra de l’ampleur puis tout son sens quand on maudira ceux qui pondent autant que nos poules des nouvelles règles, normes ou taxes à tout va … Et ça c’est comme la solidarité agricole, c’est tout le temps !!
Le dicton du moment :« S’il te prend l’envie de déprimer, bois du Claret !! »
20 mars 20 à Sud Ouest
« Je vous présente le Glyphopoule ». En plus d’être pince-sans-rire, Olivier Reumaux est un viticulteur atypique. Certains de ses voisins le lui ont bien fait comprendre quand, dans les années 90, il a décidé de convertir ses vignes en agriculture biologique. « Certains ne m’ont plus parlé, c’est dur d’être précurseur ». Son père l’a aussi regardé d’un drôle d’œil. Mais déterminé, le vigneron de Camblanes-et-Meynac, sur la rive droite s’est lancé. Les scandales du poulet à la dioxine ou de la vache folle lui ont donné raison, le regard des consommateurs et donc la demande ont changé.
Alors que la viticulture girondine traverse une nouvelle crise, la demande en vin bio continue à être soutenue. La clientèle de particuliers belges et français du Château Le Parvis de Dom Tapiau lui est fidèle.
Pas logique de faire de la monoculture
Certains viennent directement chercher leurs bouteilles sur l’exploitation. Depuis une dizaine d’années, ils peuvent repartir avec des artichauts, des tomates ou des salades. « J’avais envie de changer de métier. Ce n’était pas logique de ne faire que de la monoculture. Je faisais déjà mon potager et les clients nous demandaient s’ils pouvaient nous acheter des légumes. J’ai senti une demande » Comme il l’avait fait au début de sa carrière, Olivier Reumaux a pris son bâton de pèlerin et est allé rencontrer d’autres maraîchers déjà installés.
Pommes de terre, salades, tomates, radis, oignons, fèves se sont mis à pousser sur les trois parcelles situées à Camblanes, à Meynac et dans les palus en bord de Garonne. Ils se vendent tous les jours sur la ferme, complètent les paniers d’Association pour le maintien d’une agriculture paysanne (AMAP) et nourrissent les écoliers des quatre villages des alentours.
Le vigneron-maraîcher trouvait qu’il lui manquait quelque chose. Alors il a introduit un élevage de poules, 249 et pas une de plus, les règles vétérinaires sont très strictes.
» Il ne faut pas se diversifier par défaut et mieux vaut avoir un moral d’acier «
La serre des légumes, comme le poulailler, sont régulièrement déplacés dans l’exploitation au gré des rotations des cultures. Un assolement qui a déserté les pratiques culturales de la très viticole Gironde. « Mes poules et les quelques brebis que nous avons pour notre consommation personnelle nettoient les vignes et fertilisent les sols. J’ai une terre fabuleuse. C’est cette agronomie qui nous fait vivre », se félicite le Camblanais à la tête d’une exploitation de cinq personnes.
Pour Cristina et Pauline, les deux employées de la ferme, cette diversité de productions permet d’éviter toute routine. « N’être que dans les vignes ou que dans la serre serait fastidieux. Là, on ne fait jamais la même chose. Cela permet de tourner », apprécient-elles.
Alors que la Chambre d’agriculture de Gironde encourage les viticulteurs à se diversifier (lire ci-dessous), Olivier Reumaux reconnaît que « ce n’est pas évident de passer d’une culture pérenne à des cultures annuelles. La vigne, on la plante pour 25 ou 30 ans, le cycle de vie d’une salade, lui, est de 60 jours. Le rythme de travail n’est pas le même. Devenir maraîcher, ce n’est pas juste avoir un grand potager, il faut avoir des notions d’agronomie et d’économie. Il ne faut pas se diversifier par défaut et mieux vaut avoir un moral d’acier ».
Jamais à court de projets, Olivier Reumaux aimerait désormais se lancer dans l’arboriculture. Mais pour cela il lui faudrait trouver des terres. Et sur un secteur en pleine expansion, la mission est difficile. « Ceux qui en possèdent ne veulent pas de fermiers. Ils attendent que leurs terres deviennent constructibles… »
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C’est fait !! et ce fut la 30ème dans ma modeste carrière de vigneron.
La mise en bouteille des nouveaux millésimes est faite : Rouge 2019 Blanc 2020 et Claret 2020.
Ils seront à la vente dès le 06 mars 2021. Le blanc et Claret sont 2 belles réussites qui raviront tous les palais.
Pour apprécier le rouge 2019, il vous faudra patienter quelque temps. Sa belle puissance tannique lui conférera une belle longévité.
Quelques photos et vidéos sur notre site vous feront comprendre l’intensité de ce moment intense qui est l’apothéose de 2 ans et demi de travail.
03 mars 2021 sur France Bleu Gironde
Nos poules font l’honneur de la radio et de la télé !! A écouter absolument …
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Dans le frais brouillard, les travailleurs commencent leur ouvrage. Il est à peine plus de 8 heures, le soleil perce juste et laisse lentement monter les brumes de la Garonne.
Les mains ont froid. Le corps s’active, le cœur bat plus fort, mais notre outil de travail, nos mains, ont encore froid. Jusqu’à 11 heures.
Tel est le quotidien des travaux hivernaux. À Pauline et Nicolas est confiée la récolte des navets et des poireaux.
Leurs yeux experts sauront cueillir les bons.
Récolte longue et fastidieuse. Une à une, les premières fines peaux des poireaux sont retirées, pour les rendre présentables.
Satanés poireaux !
Pour ma part je m’adonne à l’un de mes gestes favoris : les semailles à la main.
Ce geste peux paraître dérisoire, et pourtant… Refaire ce geste, appris de mon père et reproduit par tant de générations de paysans, est émouvant.
Loin de toutes les technologies les plus avancées, c’est cette simplicité de travail qui prépare les récoltes futures.
Ce geste ne s’explique pas, il se vit…
Chaque sensation a son impact. Celle du pied, lors la marche lente et régulière, qui au contact la terre nourricière, sait dire si le lit de semence est suffisamment moelleux.
Celle de la main, calée sur le rythme régulier du pas, qui pioche les grains dans le panier avec son bruit si particulier.
Puis la main jette la semence avec adresse. La répartition des grains, la réussite du semis, dépendra de l’ouverture progressive des doigts, de la dextérité du semeur en somme.
L’œuvre est solennelle, elle prépare le pain de demain. Devoir de mémoire, j’initierai Nicolas à ce savoir-faire ancestral.
Les odeurs sont un réel plaisir. Le nez vibre quand la terre hume bon la fraicheur et l’humus fertile. Enfin, comble de beauté, alertés par les cris, nous verrons passer des migrateurs.
Elle est là, la vie simple des gens de la terre.
Olivier Reumaux
16 octobre 2020 sur France 2
Présenté par France 2, « De la terre à l’assiette » a mis en avant la démarche biologique du restaurant scolaire de Camblanes et Meynac avec qui nous travaillons. Ici, ce sont nos courgettes et melons qui sont mis à l’honneur !
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Retrouvez Nicolas le 14 octobre à partir de 16 h 30 dans les locaux de l’agence Cocoonr 36 rue Borie à Bordeaux dans le cadre du Cadillac Tour.
Vous pourrez y déguster toute notre gamme de vin (rouges blanc et clairet bien sûr) ainsi qu’un Cadillac liquoreux du Domaine de Lavialle à Donzac.
Une vraie Cadillac passera y faire également un tour !
A très vite !
Plus d’informations sur le Cadillac Tour ici.
Après la vendange et le pressurage du cabernet franc pour le Claret d’une nuit 2020, nous avons terminé les vendanges cette semaine en récoltant le cabernet sauvignon !
Étape n°1 : récupération du raisin dans la cuve – un « volontaire » rentre dans la cuve pour y sortir le raisin au fond de la cuve.
Étape n°2 : le pressurage – récupération du jus de raisin restant grâce à une presse exerçant jusqu’à 350 bars de pression !
Étape n°3 : le rebêchage – on met le marc de raisin dans une autre cage pour le presser une 2ème fois.
Étape 4 : tour de marc de raisin – une fois pressé et rebêché, Nicolas nous réalise de magnifiques œuvres d’art avec le marc de raisin 😉
Vous avez dit Melon ???
En effet c’est chez nous encore la pleine saison du melon délicieux. Ils enchantent tout le monde, même les charmantes têtes blondes des écoles du secteur.
Sa saveur cette année est exceptionnelle. Il faut dire que les terres que nous cultivons sont difficiles travailler à bien des égards mais très favorables à cette culture de mi et fin de saison. Régalez vous !!
Les pastèques, de la même famille botanique, les cucurbitacées, se plaisent bien aussi fort bien.
Accompagnés d’un verre de Claret d’une nuit en dessert, comme en entrée ou encore à l’apéritif, ils sont divins … A vos gamelles !
C’est accompagné d’un soleil de plomb que nous avons vendangé le 15 septembre le Merlot.
Suite aux attaques très virulentes du mildiou de ce printemps et à la sécheresse de cet été, les rendements de ce cépage sont faibles.
Le Merlot 2020 sera probablement de dégustation atypique.
Faites confiance aux talents vinificateurs de Nicolas pour nous en faire une très bonne cuvée !
Le Cabernet Sauvignon et le Cabernet Franc sont prévus pour les semaines suivantes : la suite au prochain épisode 😉
Grosse journée au Parvis ce Lundi 1er septembre où toute l’équipe était à pied d’oeuvre pour la vendange du blanc de cette année 2020 !
Une belle récolte qui promet un Bordeaux Blanc Bio exceptionnel !
Vous avez été nombreux à nous le demander : le voilà ! Le nouveau site internet du Château le Parvis est arrivé !
Vous y trouverez de nouvelles fonctionnalités :
– commande de vin et de panier en ligne,
– mise à disposition d’idées de recettes,
– les adresses où trouver nos vins et nos légumes,
– mise à jour régulière des légumes présents sur l’étal … et bien d’autres !
Pour toute information, remarque, n’hésitez pas à nous contacter !
A très vite !
Emission du 18 août 2020 sur France 3 Aquitaine
Juillet 2019 sur le 19/20 de France 3 Aquitaine
« Pour Olivier Reumaux et son équipe, arroser les cultures tout en économisant au maximum l’eau est un pari quotidien »
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Juin 2019 sur Horizon Garonne
– Magazine de la Communauté de Communes des portes de l’Entre-Deux-Mers –
« Vignerons-paysans précurseurs – tous leurs produits sont certifiés bios depuis 20 ans et vendus en circuits courts
– Florence et Olivier Reumaux ont parié sur la polyculture et sur la complémentarité élevage / agriculture. »
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Mars 2019 sur Message
– magazine de la commune de Camblanes et Meynac –
« L’agriculture biologique ne se conçoit pas en monoculture. Il était inconcevable de ne pas nous diversifier.
Nous nous sommes donc lancés dans la production de légumes et d’oeufs puisque nous avons 250 poules. »
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26 Mars 2019 par Sud Ouest
« Chaque jour, les écoliers de Camblanes, Cénac et de Quinsac goûtent
à la fraîcheur des produits d’Olivier Reumaux, l’un des trois viticulteurs bio camblanais »
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2 juillet 2018 par Gironde Le Département
« Le but est de donner aux enfants l’envie de consommer des produits locaux.
Il y a aussi un travail de pédagogie à faire du côté des enseignants et du personnel de l’école.
Il est très important d’instaurer une relation de confiance et surtout d’écoute. »
Olivier Reumaux
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