Auteur/autrice : admin3338
Écho du Parvis n°25 – L’élevage du vin, késako ?
L’élevage du vin – késako ?
Ce terme communément utilisé par les maîtres de chai est une étape cruciale qui s’opère après la période de vinification. Laissons la parole à Nicolas pour vous décrire ce procédé indispensable.
Une étape indispensable

Après la période vinification, les vins sont encore bruts ; les vins rouges ont des tanins très astringents et les vins blancs et rosés manquent de gras et de rondeur en bouche.
Le but principal de l’élevage est donc d’affiner et clarifier le vin, de rendre les tanins plus ronds et de faire émerger de nouveaux arômes. C’est donc de passer de l’état brut à celui de fin et délicat.
Cette période s’étale sur plusieurs mois pour les vins blancs, rosés et clairets, jusqu’à plusieurs années pour les vins de garde.
Le maître de chai dispose d’un vaste éventail de techniques pour parvenir à ses fins.
À chaque vin, un élevage différent
Le Bordeaux Blanc
On réalise un élevage sur lie qui dure environ 1 mois. Les lies sont en grande partie des levures. Le but est de les brasser régulièrement à l’aide d’une perche ou à la pompe pour les remettre en suspension. Celles-ci ont de nombreuses vertus notamment celle d’apporter du gras, du charnu et une complexité aromatique supplémentaire. Ensuite il y aura une phase de clarification pour rendre les vins moins troubles grâce au froid et à des soutirages. Viendra ensuite la filtration qui rendra le vin clair.
Le Bordeaux Clairet
Son élevage, semblable à celui du Bordeaux Blanc, est assez court aussi. Nous le laissons un peu sur lie et nous procédons à la clarification du vin avec des soutirages et une filtration.

Le Côtes de Bordeaux rouge
Un élevage de longue haleine
Son élevage est plus long (un peu plus d’un an) et va s’effectuer en barrique et foudre (le bois apportant de nouveaux arômes (de fumé, pain grillé, brioché..) et des tanins supplémentaires.
Durant cette période ces derniers s’assouplissent et deviennent plus doux avec le temps.
A mi-élevage nous procédons à un soutirage pour aérer le vin et pour laver les barriques.
Déterminer le profil souhaité
Il faut déterminer d’abord quel profil de vin nous souhaitons avoir ; il dépend de la typicité de l’appellation où on se trouve, du goût du maître de chai, des attentes du marché et du millésime.
Le vigneron et/ou le maître de chai demandent alors conseil à leur œnologue. Différents échantillons sont testés sur différents lots afin d’obtenir le résultat final souhaité.
La technique de l’assemblage
Tout est question de de proportion ! Très présente en Gironde, la culture de l’assemblage est une technique permettant d’obtenir un vin plus complexe ; les qualités d’un cépage permettant de compenser les limites d’un autre, on obtient donc un vin plus équilibré.
C’est à ce moment que le maître de chai se transforme en cuisinier. L’assemblage laisse beaucoup de possibilités. Cette technique permet d’obtenir un vin à notre goût plus ou moins boisé tannique ou fruité. Cela permet aussi d’obtenir un vin unique, non standardisé.
Ne pas déranger !
Le vin « dort » encore quelque temps dans les barriques, pour qu’il soit prêt à être mis en bouteille.
Au Château le Parvis nous marions du mieux possible le subtil et fruité Merlot, le complexe et élégant Cabernet Franc et le puissant Cabernet Sauvignon, pour vous offrir, nous l’espérons, un vin unique et de qualité.
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Écho du Parvis n°25 – Les plantes bio indicatrices et les vignes
Les plantes bio indicatrices et les vignes
Un vigneron est en premier lieu un bon observateur de ses vignes et de son terroir. Regarder vers le sol nous offre de très nombreuses indications pour comprendre et analyser ce qui se passe sous nos pieds. Outre le fait d’admirer la palette de couleurs que nous offre les adventices, ces dernières nous indiquent la flore qui s’implante. Comme vous, certaines plantes vont préférer des situations plutôt que d’autres. En voici quelques exemples..
Ficaire fausse renoncule
Son développement au printemps aime l’humidité et une légère acidité. Sa présence indique un tassement excessif voire une « asphyxie » printanière des sols.
Souci sauvage
Présents en très grand nombre dans nos vignes, le souci témoigne de l’absence d’herbicide dans le sol depuis longtemps car il est très sensible à tous ces traitements.
Ortie
Plante aux multiples vertus, tant à la cuisine qu’au jardin, elle indique un très bon taux en humus et une fréquente humidité.
Rumex grande oseille et rumex petite oseille
Ce n’est pas un remède contre le rhume mais bien une adventice particulièrement envahissante lorsqu’elle se plaît dans son milieu ! C’est une précieuse indicatrice de l’acidité du sol.
Sorgho d’Alep
Graminée générant beaucoup de graines, le Sorgho d’Alep très une plante très envahissante. Elle est révélatrice d’un faible niveau de travail du sol.
Lamier pourpre et Géranium disséqué

Quelle joie de voir ces belles plantes ! Sa présence nous confirme une bonne fertilité et une vie dynamique de notre sol.
Amarante réfléchie
Plante naturellement comestible, l’amarante est une plante conquérante (tout comme le chiendent rampant) ; elle s’implante rapidement dans des endroits fréquemment tondu où aucune autre est arrivée.

Parmi ces plantes nous trouvons également d’autres plantes : la mâche sauvage (très longue à ramasser!) et le poireau des vignes, très aromatique (à ramasser en fin d’hiver), sont régulièrement trouvés sur nos terres et nous régalent au printemps !
Le vigneron observateur aura donc un bon premier diagnostic du comportement de son sol, qu’il faudra affiner avec d’autres observations comme par exemple celui du profil cultural en creusant une fosse.
Libre à vous de réaliser l’expérience dans votre jardin ! Certaines de ces adventices qu’on appelle communément (et à tort) « mauvaises herbes » vous en apprendront davantage sur votre sol et surtout vous émerveilleront sur la beauté de la nature lorsqu’on la laisse s’exprimer.
N’oublions pas que les fleurs de ces plantes sont les premières sources d’énergie pour nos amies les abeilles à la sortie de l’hiver !
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Écho du Parvis n°25 – Édito
Édito
Rechercher ses racines…

L’an 2023 nous verra Florence et moi couronner nos 60 printemps. Il nous a été offert un pèlerinage en terre natale marocaine, pour retrouver nos racines.
Ainsi j’ai pu caresser cette terre qui m’a fait germer l’enthousiasme à cultiver. Retrouver vignes, céréales et forêts qui m’ont donné la passion de cultiver fut fort émouvant.
J’ai pu comprendre pourquoi la vigne est une culture qui me convient si bien. Cette magnifique culture ancre des racines dans des profondeurs que l’œil ne voit pas, pour donner de bons fruits savoureux.
Nouvelle saison, nouveau départ !

Et Le Parvis en ce printemps comment va t’il ? Tout est reparti ; la pousse de rameaux est fort active, nous verrons les grappes se former d’ici peu. Et l’espoir renaît.
Parlons vins : dans les chais, notre Bordeaux Blanc, Bordeaux Claret d ‘une nuit et notre Côtes de Bordeaux cuvée Tradition 2021 ont fini leur élevage puisqu’ils sont en bouteilles depuis fin mars.
Ils vous réservent de belles surprises ! Les arômes floraux de notre Bordeaux Blanc apporteront fraîcheur et rondeur à vos repas. Quant au Bordeaux Claret d’une nuit, sa puissance en bouche raviront les palais lors de l’apéritif. Et notre Côtes de Bordeaux fera partie de nos millésimes de moyenne garde avec une bonne ouverture d’ici 6 mois.
Les millésimes 2017 dans la célèbre cuvée Élite également 2019 et 2020 en cuvée tradition sont toujours disponibles dans nos caves.
Vous l’aurez compris, tous vos repas trouveront des compagnons heureux. Tous vos plats délicieusement mitonnés seront sublimés. Et si vous êtes sans idées recettes consultez donc notre page de recettes ! Les idées ne manquent pas !
Toute l’équipe du Château le Parvis est à votre disposition pour vos commandes et tout autre renseignement !
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La diversification dans le domaine viticole
La diversification dans le milieu viticole
mars 2023 pour le journal La Vigne
Le monde viticole est en constante évolution. Le journal La Vigne a voulu en savoir plus sur les viticulteurs qui ont choisi la solution de la diversification de leur activité et les raisons pour lesquelles ils ont choisi cela. Parmi ces viticulteurs, Olivier a été interviewé sur le sujet.

Version écrite de notre passage dans cet article :
La diversification ? Fondamentale selon Olivier Reumaux, propriétaire du Château le Parvis de Dom Tapiau, 5,5 ha à Camblanes et Meynac, en Bordeaux et Côtes de Bordeaux. « Pendant longtemps, le vin a bien fonctionné. Les viticulteurs ne voulaient pas « s’abaisser » à faire de l’agriculture« , admet-il.
Salutaire diversification
C’est en 2009 qu’il se lance dans le maraîchage. Sur 8 ha de terres louées, il produit 45 variétés de légumes qu’il écoule soit dans la boutique qu’il a ouverte sur sa propriété, soit au travers d’Amap, d’une coop et dans la restauration collective. Le vigneron reconnaît que s’il était resté uniquement dans le vin, cette activité n’existerait plus aujourd’hui.
« Il faut savoir s’adapter, apprendre un autre métier« , relativise Olivier Reumaux. Ainsi, il n’a pas hésité à aller se former chez des maraîchers du Lot-et-Garonne. Et il a investi dans une pailleuse mécanique, une planteuse à légumes et une herse étrier pour le désherbage mécanique.
Avec son épouse, son fils et leurs deux salariées, il compte faire éclore d’autres projets en 2024, sur lesquels il préfère pour l’heure rester discret.
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Olivier en podcast sur RCF : agriculture, l’écologie s’impose
Olivier en podcast sur RCF :
Agriculture, l’écologie s’impose
25 février 2023 sur RCF
Découvrez le podcast sur le site de RCF en cliquant ci-dessous.
Version écrite
Dorothée Falières
Le modèle agricole qui prévaut depuis des décennies est aujourd’hui devenu une impasse.
À l’heure de l’urgence climatique, de l’effondrement de la biodiversité et de la crise sanitaire, mais aussi de la guerre en Ukraine, notre système agricole et alimentaire est devenu fragile et dépendant et une profonde transformation des pratiques s’impose aujourd’hui.
Mais comment cultiver la terre pour permettre à tous les hommes d’avoir accès à une nourriture saine sans mettre en péril l’équilibre de notre planète ? Pour nous éclairer sur ce sujet, j’ai choisi d’inviter Olivier Reumaux. Bonjour Olivier.
Olivier Reumaux
Bonjour.
Dorothée Falières
Vous avez 58 ans, vous êtes agriculteur et viticulteur à Camblanes, à 15 kilomètres au sud de Bordeaux. Vous êtes marié à Florence. Vous avez fait des études agricoles et après vos études, vous décidez de reprendre l’exploitation viticole de vos parents et de vivre de votre travail d’agriculteur. Cette reprise se fait en 90, mais en 93, vous décidez de passer l’exploitation en bio avec une certification que vous allez obtenir en 99.
Vous êtes considéré par la profession comme un pionnier dans l’agriculture biologique. Vous avez créé un équilibre original où vivent en harmonie animaux, légumes et vignes. Écoutons Olivier Reumaux nous expliquer quelles ont été ses motivations profondes pour effectuer ce virage vers une agriculture plus durable, pour nous protéger, mais aussi pour protéger notre maison commune.
En préparant cette émission, Olivier, je vous ai demandé de me citer une phrase, un extrait de texte, une rencontre et de nous expliquer pourquoi vous avez choisi ce moment, cet événement, ce lieu, ce livre et pourquoi ces questions écologiques vous intéressent. Qu’est ce que vous avez choisi de nous dire maintenant ?
Olivier Reumaux
Ce qui a vraiment motivé notre conversion dans l’agriculture biologique, il y a plusieurs éléments. D’abord, avant de m’installer comme viticulteur en 1990, j’ai bourlingué un peu comme saisonnier agricole pendant cinq ans et j’ai pu ainsi découvrir de multiples facettes du monde agricole. Je partais comme ça avec mon vélo saisonnier, je travaillais trois ou quatre mois, parfois dans les élevages en plein hiver, parfois dans les plaines céréalières où là, c’était 12 ou 13 heures de tracteur sept jours sur sept.
Mais j’ai pu comme ça découvrir d’une part tous les hommes qui faisaient cette agriculture française, mais aussi toutes ces terres, toutes ces cultures et comment est-ce que les gens arrivent à trouver des équilibres à travers leur mode de fonction à travers leur exploitation.
Ensuite, certainement plus avant, d’autres rencontres m’ont fait aussi comprendre qu’elle était un peu l’écologie dans le sens beaucoup plus large, l’écologie avec cette humanité, des personnes qui étaient de la génération de mes parents. D’ailleurs, qui, on peut citer, qui s’appellent François et Geneviève, qui m’ont fait comprendre combien il était important d’avoir un regard beaucoup plus large que simplement acheter bio.
Surtout que là, on parle des époques années 70, 80, où c’est des gens qui avaient un regard très humain sur les choses, qui savaient regarder la terre avec beaucoup d’humilité et qui savaient faire vivre vraiment leur vie d’une façon cohérente, aussi bien dans leurs paroles que dans leurs actes.
Dorothée Falières
Cette rencontre, en fait, a été assez déterminante pour vous ?
Olivier Reumaux
Totalement déterminante. Il y a eu d’autres rencontres, mais qui ont été moins marquantes.
Dorothée Falières
Et c’étaient des agriculteurs ?
Olivier Reumaux
Ils ont été agriculteurs à l’époque où nous étions au Maroc aussi. Moi, j’ai vécu sur ces terres du Maroc aussi. C’est là aussi que j’ai compris qu’il y avait différentes formes d’agriculture, différentes formes, différentes approches et qu’il ne fallait pas se standardiser par rapport à une approche. Surtout à l’approche des années 70, 80, où en France, c’était une approche très agriculture conventionnelle et on ne discutait pas et qu’il n’y avait aucune autre possibilité.
Dorothée Falières
Est ce que c’est eux qui vous ont motivé pour cette conversion en agriculture biologique quand vous avez repris l’exploitation familiale ?
Olivier Reumaux
Disons que ça fait partie des petits pions qui ont été poussés les uns après les autres et qui m’ont fait comprendre où est ce qu’il faut aller. La chose qui m’a fait comprendre qu’il fallait passer au bio, c’est quand je regardais quelques années après s’être installé. On s’est installé en 90.
Les premières années, on règle les plus gros problèmes, on essaie de surnager, sortir un peu la tête de l’eau de tout ce qui vous tombe dessus quand on est tout d’un coup un nouvel exploitant.
Je me suis essayé de me projeter dans les années qui suivent et je me suis dit « Dans cinq ans, qu’est ce qui se passe ? Dans dix ans, qu’est ce qui se passe ? Dans 20 ans, qu’est ce qui se passe ? Quelle est un peu l’exploitation ? Comment est ce que moi je la vois ? Comment est ce que demain le monde sera ? Qu’est ce qui va se passer demain ? »
Et j’ai très vite compris que le modèle agricole traditionnel conventionnel avec ses limites et surtout, cette idée du tout chimique, toute solution, tout problème a une réponse chimique.
Pour moi, ce n’était pas du tout la manière de voir les choses. Et après, il y a ce nombre de choses qui ont été confirmées quand j’ai commencé à être exploitant, dont j’ai vu les limites, effectivement, de l’agriculture conventionnelle, qu’il fallait aller vers une autre voie.
Dorothée Falières
Est ce que ça a été compliqué à cette époque, c’est à 25 ans, que ça a été compliqué vis à vis peut être de vos collègues, de vos autres amis agriculteurs ou alors est ce que c’était la profession, les coopératives ? On vous a sûrement mis des bâtons dans les roues, non ?
Olivier Reumaux
On ne m’a pas mis directement des bâtons dans les roues. Personne ne m’a empêché de passer au bio, mais ça a été un peu la risée dans le coin et par d’autres collègues. C’était surtout pris avec beaucoup d’humour. « Tiens, les écolos, les barbus, les soixante huitards, le retour sur le hasard, etc. »
Effectivement, c’était ça. Mais il y a deux choses. Ça a été compliqué à mettre en place sur l’exploitation, oui. Parce que tout d’un coup, quand on dit qu’on veut travailler différemment et qu’on veut passer au bio, il faut suivre un cahier des charges. Donc suivre le cahier des charges, d’abord, il faut le connaître et il faut se rappeler qu’à cette époque là, on n’avait aucun soutien technique de personne, ni la Chambre d’Agriculture, ni aucun soutien de rien du tout.
C’était « Débrouille toi. » Donc je me suis débrouillé, tout simplement. Et quand on allait voir parfois d’autres collègues qui étaient des anciens bio, des gens qui étaient en bio, qui y croyaient, ils donnaient très peu de leurs informations par rapport à ce qu’ils faisaient, parce qu’ils ne voulaient pas être copiés.
Dorothée Falières
Donc c’est vous même qui vous faisiez vos purins d’ortie, vos purins de prêle ?
Olivier Reumaux
On a fait beaucoup de choses nous même. On a même dû fabriquer nous même certains outils pour travailler sous les rangs de vigne, parce qu’il y avait des choses qui ne correspondaient pas à ce que je voulais. Donc on a été devenu aussi tout d’un coup…
Dorothée Falières
Un peu machiniste agricole.
Olivier Reumaux
Machiniste aussi et mécano pour se débrouiller.
Dorothée Falières
Aujourd’hui, votre vin est un vin issu de l’agriculture biologique, mais vous ne faites pas que du vin, vous faites aussi du maraîchage.
Olivier Reumaux
Il y a 12 ans, on a décidé de se diversifier parce que là aussi, je trouvais que faire de l’agriculture biologique et en faire une monoculture, c’était aberrant.
À l’époque, il y a 12 ans, quand on disait qu’on allait faire du légume, là aussi, ça a été trouvé un peu ridicule par tout le monde. L’avenir nous a donné raison, mais c’était pour donner un nouvel agro-équilibre à notre exploitation, parce qu’on avait des cultures pérennes avec des produits transformés qui se buvaient à long terme et que tout d’un coup, on passait à des cultures annuelles dont le cycle était très, très court.
Et on a même continué notre évolution en mettant un atelier de 250 poules pondeuses pour pouvoir avoir à la fois des cultures annuelles, des animaux qui sont des monogastriques. Et on a aussi quelques brebis, mais ça, c’est surtout pour la consommation familiale, mais qui sont très utiles dans les vignes, notamment en hiver, avec des polygastriques. Grâce à ça, on arrive à avoir un agro-équilibre entre différents pans de la culture et de la nature.
Dorothée Falières
Sur votre site web, vous donnez donnez un nom assez rigolo quand vous parlez de vos moutons dans vos vignes, vous dites que c’est… ?
Olivier Reumaux
Nous, on appelle ça la tondeuse 4-gigots.
Dorothée Falières
Ça m’a fait rire. Aujourd’hui, la valorisation de vos produits, elle se fait via des marchés, j’ai vu.
Olivier Reumaux
On ne fait pas de marché. Ce que nous faisons, c’est la vente directe sur place, d’une part, pour tout ce qui est de nos légumes en tout cas. Tout ce qui est de nos légumes et de nos vins, c’est vente directe sur place, d’une part. D’autre part, on livre des AMAPs. On livre quatre AMAPs ici sur le coin et on travaille avec la restauration collective des communes environnantes.
Dorothée Falières
Oui, j’ai vu les cantines.
Olivier Reumaux
Les cantines, c’est ça, tout à fait. Et depuis maintenant deux ans, on travaille avec un magasin qui s’appelle Le BREC, qui est à Créon, qui est une coopérative de producteurs dans lequel on produit. Vous pouvez trouver nos œufs là bas, en particulier, parce qu’on fait partie de ceux qui ont les œufs sur place.
Dorothée Falières
Donc, en fait, vous avez réussi à faire du circuit court et de la vente directe pour écouler l’ensemble de vos produits. Est ce qu’aujourd’hui, vous conseilleriez, par exemple, à quelqu’un qui veut se lancer en disant « Vas y, c’est ce qu’il faut faire aujourd’hui ».
Olivier Reumaux
Je dirais, à mon sens, il y a plusieurs sortes d’agriculteurs. Il y a ceux qui veulent voir un peu plus loin que demain, auquel cas l’agriculture bio est indispensable, mais il faut la voir d’une façon beaucoup plus large et beaucoup plus ouverte.
Le seul souci, comme un peu toutes les entreprises, il faut avoir cinq ans d’avance dans ses projets. Certes, aujourd’hui, c’est un peu difficile avec toutes les choses qui sont arrivées d’ici les trois dernières années, d’avoir des projets sur du dossier long terme. Mais c’est indispensable de se projeter un peu parce qu’on ne peut pas tout d’un coup faire de l’agriculture tout court et faire de l’agriculture bio encore plus en se disant « Je ne fais de l’agriculture que cette année, je ne fais de l’agriculture bio que cette année. » Parce qu’ on travaille vraiment sur du vivant et sur du long terme.
Dorothée Falières
Sur du long terme, oui. Est ce qu’aujourd’hui, par exemple, tous les agriculteurs pourraient ou devraient passer en bio ?
Olivier Reumaux
Là, c’est un sujet extrêmement compliqué. Devraient, bien sûr, mais pourraient, je ne le pense pas, parce qu’il reste aujourd’hui quand même des gens qui ne sont pas prêts à acheter en bio. Et quoi qu’on en dise, même si on a soi-même des convictions, il faut bien reconnaître que certains ne veulent pas acheter des bio, tout simplement.
Dorothée Falières
Pour des raisons financières ?
Olivier Reumaux
Pour des raisons financières, mais le problème de raisons financières, c’est qu’on voit la chose très souvent dans le mauvais sens. Si on dit l’alimentation, c’est cher. Alors, il ne faut pas voir les choses comme ça mais la question qu’il faut se poser c’est « Quelle est la proportion de son budget qu’on va mettre dans l’alimentation ».
Et est-ce qu’on préfère mettre 15 % ou 10 % comme c’est le cas de beaucoup de gens aujourd’hui et par contre mettre 20 à 30 % dans ses vacances ? Ou parfois mettre un peu plus, ce n’est pas grand-chose de plus, c’est 4-5 % de plus mais, acheter des produits bio.
Et surtout ce sont des produits qu’on peut, si on transforme soi-même ses produits dans la cuisine, on a des produits à prix très raisonnables parce qu’on cuisine soi-même et on a de la fraîcheur, tous les avantages.
Dorothée Falières
On parle beaucoup de la détresse des agriculteurs aujourd’hui, j’ai envie de vous poser la question : est ce qu’aujourd’hui vous êtes heureux dans votre métier ? Ça à l’air mais je veux vous l’entendre dire.
Olivier Reumaux
Je suis extrêmement heureux dans mon métier parce que d’abord, je fais quelque chose qui me passionne. J’ai la chance également de travailler avec une équipe extrêmement motivée avec Pauline, Cristina, Nicolas et Florence aussi ma femme.
Et avec ça on forme une équipe qui est très soudée. Tous ont une force de proposition pour ce qu’on fait, ce qui fait que je n’ai pas du tout le sentiment d’être seul aujourd’hui ; même si beaucoup de décisions, je les prends tout seul. Mais je suis beaucoup conseillé et aidé par mes collègues, donc ça aide beaucoup.
Quant à être heureux, ça, je le suis complètement. Mais collègues me disent « Bon, ok, d’accord mais pas plus d’un projet par jour, sinon on ne va pas pouvoir le faire ».
Dorothée Falières
C’était un peu ma dernière question, j’avais envie de vous dire, est ce que vous pouvez me donner un petit projet, un projet comme ça qui vous trotte dans la tête, que vous aimeriez mettre en place, je ne sais pas, entre 1 et 4 ans par exemple.
Olivier Reumaux
Alors, il y a déjà un projet, qui a été réalisé la semaine dernière puisqu’on a commencé à planter des arbres fruitiers, et donc on est devenu arboriculteurs tout d’un coup. On commencé par de la prune et de la pêche.
Dorothée Falières
Au détriment de la vigne ?
Olivier Reumaux
Pas au détriment de la vigne parce que ce sont des terres qu’on a récupérées chez des voisins qui ont arrêté la viticulture. Et un autre projet qui est celui de planter des asperges qui vont se planter au mois d’avril donc qui vont arriver pour la récolte de 2024 les premières et puis ça va continuer 2025…
Dorothée Falières
Vous avez un sol assez sableux pour l’asperge ?
Olivier Reumaux
On a des sols qui conviennent parfaitement aux asperges et qui donneront certainement de bonnes asperges aussi bien qualitativement que quantitativement.
Dorothée Falières
Alors j’ai envie que vous m’expliquiez un petit peu parce que nos auditeurs sont souvent un peu perdus ; qu’est ce que l’agroécologie. On parle beaucoup d’écologie, mais qu’est ce le bio et l’agroécologie ? En fait, il y a un peu une différence.
Olivier Reumaux
Alors, il y a une différence, certes, elle existe.
Alors le bio c’est le suivi d’un cahier des charges de suivi qui est européen, donc ça c’est un peu cartésien, on suit le cahier des charges et, à l’intérieur de ça, on est certifiés en bio ou pas.
L’agroécologie est un concept qui est beaucoup plus vague, qui n’a pas de définition technique précise, mais qui consiste entre autres et en particulier à avoir toujours des sols couverts de végétation.
C’est à dire qu’on sème des engrais verts systématiquement derrière toute culture ; derrière les pommes de terre qui sont arrachées entre le mois de juillet et le mois de septembre. On va semer des engrais verts, dans les vignes, des engrais verts…
Le sol est toujours couvert de façon à ce qu’il soit protégé d’une part, des aléas climatiques, mais aussi qu’ils puissent toujours profiter du soleil et de l’énergie qu’ils profitent et redonner, quand les engrais verts vont se décomposer, repartir dans le sol.
C’est surtout ça que veut dire l’agroécologie.
Dorothée Falières
Olivier Reumaux, est ce que vous pouvez me donner un exemple concret d’une action que vous menez vous-même et, lorsque les auditeurs vont vous entendre, ils vont se dire « Ah tiens, c’est quelque chose de simple qu’il me donne à faire et j’ai envie de m’y mettre ». Qu’est ce que vous pourriez donner ? Un exemple simple.
Olivier Reumaux
Il y a une chose toute simple c’est, quand vous achetez vos produits, tout simplement acheter des produits locaux. Acheter du bio c’est bien mais il faut l’acheter localement.
Acheter de la pomme de terre bio qui vient d’Egypte parce qu’elle est précoce ou acheter certains produits qui viennent de l’autre bout du monde parce que c’est bio, ce n’est pas du tout la bonne manière de voir les choses.
Il vaut mieux acheter des produits conventionnels locaux, même si je suis un grand militant du bio, mais il est important de voir l’origine du produit en plus de celle d’être bio. C’est tout simple.
Dorothée Falières
Olivier Reumaux, merci d’avoir répondu à notre invitation et de nous avoir fait partager votre métier d’agriculteur et comment, grâce à votre conversion, vous prenez soin de nous et de notre maison commune.
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Opération serre !
Opération serre
Cette année, une nouvelle partenaire de taille est arrivée au Château. Indispensable « collaboratrice », cette serre de 50 mètres accueillera, cette année 2023, nos futures tomates !

Un « puzzle » à monter soi même
Son arrivée était attendue ! 1ère étape, le déchargement de notre « dame de fer ».
Épreuve qui demande maîtrise et minutie au manitou pour ne rien abimer (merci Nicolas) !
Plantation des amarres
Après avoir repéré l’emplacement puis effectué les repères, place à la plantation des amarres qui nous permettront de fixer les arceaux de la serre
L’ingéniosité d’Olivier a encore frappé en adaptant la tarière en planteuse d’amarres. Du temps et de l’énergie économisés !

Fixation de la barre centrale
La barre centrale (ou entretoise) permet de lier les arceaux entre eux et ainsi de consolider la structure.
C’est en binôme que Cristina et Leïla ont réalisé cette opération indispensable à la bonne tenue de la serre.
En parallèle, les barres de soutien (jambes de force et croix de saint André) et les chaînes sont fixées.
Serre terminée !

Une fois la structure métallique fixée, place au bâchage de la serre. Il nous faut un beau temps et pas de vent pour une mise en place optimale. La bâche tirée, cordages et clips sont nécessaire à la bonne tenue de la bâche afin qu’elle résiste aux intempéries (pluie, vent).
Après le passage du tracteur pour le travail du sol à l’intérieur de la serre, nous finirons par le montage des portes. C’est par la suite que nous fixerons les barres de cultures latérales pour y faire grimper nos futures tomates édition 2023.
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Vous avez dit fruits ?
Vous avez dit fruits ?
Nouveau projet qui se concrétise pour toute l’équipe du Château le Parvis ! Cette année, une trentaine d’arbres on été plantés (et semés !) Beaucoup d’organisation et de techniques employées pour que ces derniers poussent dans les meilleures conditions. On vous explique tout !
Avant la plantation

Le sous solage
Après avoir semé et laissé pousser les engrais verts, place à la sous soleuse.
Cet outil permet d’ameublir le sol sans le retourner. Ce travail a pour but d’avoir un sol aéré afin de favoriser un meilleur enracinement de nos futurs arbres.
Le métrage
Afin de faciliter les futurs passages de tracteur, il est indispensable d’aligner nos futures plantations !
Nous réalisons donc le métrage puis repérons les emplacements avant d’effectuer les trous.

Ca creuse, ça creuse !
Tracteur et tarière nous permettent de creuser à bonne profondeur en toute « simplicité » les trous.
Respecter le métrage est crucial pour avoir des rangs alignés !
Le savoir-faire et la précision d’Olivier priment la encore !
Tout est prêt pour planter !
C’est sous l’œil avisé d’Olivier que les 11 reines claudes, 3 plaqueminiers, 3 mirabelliers et 9 pruniers ont été plantés ! Nous avons testé également le semis direct pour les nectariniers.
Ces arbres mènent le Château le Parvis dans une nouvelle ère : celle de l’arboriculture !
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Les travaux de janvier dans les vignes
Les travaux de janvier dans les vignes
L’hiver la nature semble à l’arrêt, rien ne semble pousser. En réalité pour le bon observateur il n’en est rien ! La nature a déjà commencé à préparer le printemps. Les premiers crocus sortent de terre depuis mi-janvier suivis de près par les noisetiers qui ont sorti leurs fleurs très discrètes quelques semaines plus tard. Et qu’en est-il de la vigne ?
Entre les rangs
Les engrais verts semés à l’automne s’enracinent lentement.
Les engrais verts sont des plantes semées en contre saison de la pousse de la vigne, semés en octobre et enfouis en mars.
En poussant l’automne et l’hiver ils ne concurrencent pas la vigne, captent du carbone et de l’azote de l’atmosphère pour le restituer au sol au printemps.
Aussi, par leur feuillage, ils protègent le sol de la battance des pluies hivernales, par leurs racines ils favorisent l’infiltration de l’eau dans sol et le sous sol.
Ainsi ils sont un vertueux système.
Quant à la vigne, elle est encore en état végétatif, elle se « repose » et prépare sa pousse.
Elle attend des températures supérieures à 12 °C (parfois certains après midi) pour accumuler lentement dans ses sarments de la sève nourricière.

Travaux manuels

Aussi pour le vigneron le repos est de courte durée. La taille et le tirage de bois s’enchaînent de décembre et dureront jusqu’à début mars. Gare aux étourdis qui profiteront trop de la cheminée !
Quant aux travaux du sol, ils attendront les beaux jours. Le sol, cet élément si fragile, est malmené par les pluies hivernales abondantes et les grands froids. Trop humide le sol va se lisser par le passage des outils et se compacter avec les engins. Attendons donc un peu.



Même la neige tombée de ce 18 janvier ne nous a pas empêché d’accomplir nos tâches quotidiennes !
Brebis mises à contribution

Notre petit troupeau de brebis nous aide aussi à avoir un agro-système viticole performant pour le sol. Les brebis, en mangent l’herbe et en laissant des excréments fournissent au sol des nutriments dynamisant la vie du sol.
Vers de terres et autres arthropodes s’y raviront ! Ces derniers digèreront les nutriments afin de les rendre assimilables par les plantes. La boucle est bouclée !! Dans ce cycle de vie complexe qu’est le sol, chacun fait une partie du boulot !
Ça soutire, ça soutire !
On soutire, on assemble puis on laisse le vin au repos 10/15 jours puis dégustation puis de nouveau soutirage.
Il faudra 4 à 5 soutirages avant d’avoir les vins fin prêts à rester en bouteille, et pour certains de longues années.
Nous y travaillons ardemment !

Nos vins sont disponibles en pré-commande sur le site, par mail sur commande@chateauleparvis.fr, par téléphone au 05 56 20 15 62 et directement en magasin du mardi au vendredi de 16h à 19h et le samedi de 10h à 13h.
Plus d’infos >> ici <<
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Concours photo Spécial Fêtes !
Participez à notre Concours photo Spécial Fêtes !
Envoyez-nous dès aujourd’hui et jusqu’au 01 janvier 2023 une photo spéciale fêtes avec une de nos bouteilles de vin.
Notre jury se rassemblera pour élire les 2 meilleures photos.
Nous publierons notre verdict le 17 janvier 2023.
Les 2 meilleur(e)s photographes gagneront 1 Magnum 2020
avec une dédicace spéciale de notre vigneron préféré !
Il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous et d’y joindre votre photo !
Toute l’équipe du Parvis vous souhaite de Joyeuses Fêtes de fin d’années
A vos appareils ! 🙂
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L’hiver au Château
L’hiver au Parvis : une saison plus … tranquille ?

Avec le moment de repos de la végétation, les vignerons sont moins dans l’euphorie de la belle saison avec son lots d’urgences.
Nous voilà dans les travaux d’hiver ; ils sont nombreux mais peuvent, contrairement aux travaux de la pleine saison, être étalés sur 3 mois. Mais gare aux cigales qui se dorent la pilule près de la cheminée !
Le printemps est implacable vers le 15-20 mars, avec les beaux jours, les bourgeons de vigne sortiront. Et là, plus question de travaux d’hiver ! Tout devra être terminé !
Aussi, la météo parfois hostile et les journées courtes nous invitent à la réflexion, à se poser pour d’une part, faire le point sur l’année écoulée puis bien préparer le devenir de la saison nouvelle.
La taille de vigne
Dans les vignes, le tailleur dans le silence de l’hiver, au rythme de 800 à 1000 ceps (pieds de vigne) quotidiens, devra faire son ouvrage.
Par temps frais, venteux ou pluvieux ; le rythme hebdomadaire devra être tenu.


On répare les dégâts !
Puis il faudra remettre en état tout les palissages ; réparation des fils cassés, évacuation des piquets cassés et remplacement de ces derniers,..
Notre tracteur et notre manitou sont nos principaux alliés dans cette tâche !
Également le moment est à l’entretien. Bordures et haies devront également être taillées.
La période des soutirages
A certains moment le vigneron tailleur se mue en maître de chai, lui aussi bien actif. C’est le moment, après l’euphorie de vinification, de faire les soutirages et préparer les vins au mieux à aborder les rigueurs de l’hiver.
Dégustations obligatoires !
Viens aussi le verdict des dégustations des cuvées primeur.
Les nez, les yeux, les palais, dans un silence religieux sont ainsi appelés à un verdict franc et honnête.
Nous voilà un temps dégustateurs appelés à juger et jauger notre propre ouvrage…

Comme vous le voyez, L’hiver est un grand moment d’activité mais aussi d’intensité intérieure pour les vignerons. Grâce à tout cela, nous vous offrons ainsi dans vos bouteilles un nectar de passion.
Pour vous permettre de passer les fêtes, voici la liste des vins disponibles.
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Chapons et poulardes disponibles en pré-commande !
Commandez vos Poulardes et Chapons fermiers des Landes pour les fêtes !
Les réservations des poulardes et chapons se feront jusqu’au 7 décembre 2022
et seront à récupérer entre le mercredi 14 et le samedi 17 décembre 2022.
Le prix est fixé à 13 € le kg pour la poularde et de 14€ le kg pour le chapon (plusieurs poids disponibles)
Réservez dès à présent en remplissant le formulaire ci-dessous ; vous règlerez lors de votre passage.
Note : les volailles sont avec les abats. Elles proviennent de l’élevage de Mr François de Lesdain à Saint Sever dans les Landes.
Elles ont la double certification IGP et Label Rouge
Réservations clôturées.
Rendez-vous l’année prochaine pour les réserver !
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Crêpes à la fondue de poireaux, jambon et béchamel

Crêpes fourrées à la fondue de poireaux, jambon et béchamel
Ingrédients
- 6 crêpes
- béchamel
- 300 gr de jambon
- 200 gr de gruyère râpé
- 3 blancs de poireaux (ou 1 botte de poireaux vinaigrette)
- 20 gr de beurre
- crème fraîche
Notes
Préparation
Préchauffer le four à 180°C. Laver et couper les blancs de poireaux en rondelles assez fines (garder le vert pour une soupe ou une quiche). Faire chauffer une poêle avec le beurre et y mettre vos poireaux. Les assaisonner, les couvrir et les laisser cuire à feu doux pendant 30 min en remuant de temps en temps pour ne pas que ça colle. Rajouter la crème fraîche à la fin. Pendant la cuisson, faire vos crêpes.Idée de recette ici : https://www.hervecuisine.com/recette/la-recette-des-crepes-legeres-et-moelleuses/ Pour réaliser votre béchamel en un rien de temps, opter pour la recette de la béchamel au micro-ondes. Elle est inratable !
Voir la recette : http://www.mysaveur.com/recette-sauce-bechamel-au-micro-onde.php Couper le jambon en morceaux. Mélanger la béchamel avec le jambon et la fondue de poireaux. Intégrer la préparation au milieu de la crêpe en rajoutant du gruyère râpé, puis la refermer. Mettre toutes les crêpes dans un plat allant au four. Rajouter du gruyère râpé par dessus et les faire gratiner 10-15 minutes au four. Bon appétit ! L’équipe du Château le Parvis
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Lasagnes Chèvre Épinards

Lasagnes chèvre épinards
Ingrédients
- 1,5 kgs d'épinards
- 2 grands fromages de chèvre frais (pas en bûche)
- 4 briquettes de crème de soja de 20 cl (fonctionne également avec de la crème liquide)
- 200 gr de gruyère râpé
- 2 échalotes
- 200 gr de saumon fumé (optionnel)
- pâtes à lasagnes
Notes
Préparation
Préchauffer le four à 180°C. Laver les épinards et enlever leur queue pour avoir que les feuilles. Puis les faire cuire quelques minutes à l’eau. Bien les essorer et les couper en petits morceaux au couteau (ou avec une paire de ciseaux), les assaisonner à votre convenance. Couper les échalotes en petits morceaux puis les ajouter à la préparation. Mélanger le tout avec le fromage de chèvre frais et la crème soja (ou crème liquide traditionnelle). Cuire les planches de lasagnes dans une casserole d’eau bouillante (une à une sinon ça colle…) Beurrer un plat à gratin et faire des couches successives :– planche de lasagne
– mélange chèvre / épinards
– saumon fumé (optionnel) Arrivé(e) à votre dernière couche de planche de lasagne, recouvrir de crème de soja puis, nappez de gruyère râpé. Le secret est que la lasagne soit bien « mouillée ». Ne pas hésiter donc avec la crème liquide ! Mettre au four pendant 15 à 20 minutes (c’est bon quand c’est doré au dessus !) Bon appétit ! L’équipe du Château le Parvis P.S : Merci à Nathalie de nous avoir partagé votre recette qui régale à chaque fois toute la famille !
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Gratin de chou romanesco à la béchamel

Gratin de chou romanesco
Ingrédients
- 1 chou romanesco (minimum 500g)
- 500 gr de pommes de terres
- quelques noix
- gruyère râpé ou parmesan
- sel et poivre
Et pour la béchamel
- 25 gr de beurre
- 25 gr de farine
- 25 cl de lait
- muscade
- sel et poivre
Notes
Préparation
Préchauffer le four à 210°C, faire chauffer le cuit vapeur (si vous n’en n’avez pas, faire chauffer de l’eau bouillante) et faire chauffer à feu doux le lait pour la béchamel. Détailler le chou romanesco en petit morceaux et couper en cubes les pommes de terre. Mettre le tout dans le cuit vapeur (ou l’eau bouillante) et laisser cuire entre 5 et 10 minutes. En attendant, préparer la béchamel en faisant fondre le beurre entre 30 secondes et 1 minute au micro-ondes. Rajouter ensuite la farine et mélanger jusqu’à obtenir un « roux ». Y ajouter le lait chaud et mélanger. Remettre au micro-ondes 1 minute puis mélanger à nouveau. Répéter l’opération jusqu’à consistance souhaitée. Puis assaisonner avec poivre, sel et muscade à votre convenance. Après avoir beurré un moule à gratin, mettre les légumes, les noix préalablement décortiquées, la béchamel et le gruyère (ou parmesan) Mettre au four pendant une quizaine de minutes. Bon appétit !L’équipe du Château le Parvis
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Réussir un grand millésime
Réussir un grand millésime
Quel est le secret pour créer un excellent vin ? Le secret vient de la bonne maturation du raisin. Mais alors quelles sont donc “ces bonnes conditions” pour une maturation parfaite ? Nicolas vous explique tout !
La météo

Quand vous demandez à un vigneron s’il est content de la météo il vous répondra sûrement : “Non, il fait trop sec !” ou bien “Ah non, il pleut trop”.
Vous penserez qu’ils ne sont jamais contents et qu’ils aiment à râler.
Mais quelles seraient les conditions idéales ?
Fin mai – début juin

C’est à ce moment qu’a lieu le débourrage de la vigne (période durant laquelle les bourgeons sortent).
Les gelées tardives sont nos pires ennemies ! Si le bourgeon gèle, il meurt et donc ne pourra pas produire de raisin.
Sur la photo ci-contre on observe bien la différence entre le bourgeon épargné par le gel et le bourgeon gelé.
Pour favoriser la floraison future, le temps idéal se doit donc d’être sec et chaud. Ces facteurs limitent les pertes dues aux maladies et à l’avortement des fleurs.
Fin juillet – début août

C’est la période de véraison (changement de coloration de la grappe) et de maturation.
Un temps sec et chaud favorise le mûrissement et le développement des arômes et une pluie modérée aide les baies à devenir juteuses.
C’est une période sensible et intense. On a coutume de dire que “chaque jour compte double”.
C’est durant cette seconde période que les arômes des raisins commencent à se développer.
Une pluie trop abondante entrainerait le pourrissement des fruits.
Une sécheresse importante créerait un stress hydrique (influence néfaste sur la maturité).
L’aridité du climat baissant l’acidité et augmentant les degrés du vin, cela modifierait ses arômes et le rendrait déséquilibré.
Les conditions parfaites sont utopiques. La réalité est tout autre ! Il faut s’adapter à ce que la nature nous donne.
Le pouvoir du maître de chai

Grâce à ses connaissances et son expérience, le maître de chai est capable de tirer la quintessence de la vendange qu’il doit vinifier.
Il extrait les meilleurs tanins, les meilleurs arômes possibles et jongle avec les qualités uniques de la vendange.
Mais pas que …
L’œnologie compense aussi en partie les insuffisances de la vendange récoltée, tels un manque d’acidité ou des degrés trop élevés .
Au Château le Parvis, nous sommes exactement dans cette logique.
Nous nous adaptons au millésime et à ce que la nature nous offre, tout en modifiant certains paramètres de la vinification. Dans un but précis : créer chaque année un millésime spécifique, non standardisé, avec ce que la nature a bien voulu partager !
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Le temps des vendanges et de la vinification
Le temps des vendanges …
… et de la vinification
Comment se sont passées les vendanges ? Quelle sera la qualité du vin ? Nous répondons à toutes vos questions grâce à cette petite rétrospective édition millésime 2022 !
Les vendanges

Les vendanges de cette année ont été précoces ; la sécheresse de cette saison en est la cause principale.
Pour donner une idée, le taux de précipitation moyen (entre 1946 et 2014) en Gironde est de 920 mm/an*.
Cette année il a été de 422 mm soit 55% de moins que la moyenne** !
En 33 ans de vendanges au Château c’est la 3ème fois que nous vendangeons les blancs si tôt (en août).
Résultat : un raisin qui est mûr plus tôt et qui a moins de jus.
ANNÉE | TAUX DE PRÉCIPITATION ANNUEL | % PAR RAPPORT AU TAUX DE PRÉCIPITATION MOYEN |
---|---|---|
2018 | 784 mm | -15 % |
2019 | 997 mm | + 8 % |
2020 | 1156 mm | + 25 % |
2021 | 884 mm | – 4 % |
2022 | 422 mm | – 55 % |
en Gironde de 2018 à 2022
Malgré cela, la qualité du raisin est exceptionnelle, ce qui nous permettra de vous proposer des vins d’une qualité gustative remarquable.
Le millésime 2022 est très prometteur !
* données du Conseil Départemental de la Gironde
** données du site https://www.infoclimat.fr/
La vinification

Toutes les vinifications se passent bien. Le blanc a fait une fermentation* franche et sans anicroche laissant ainsi se développer de subtils arômes d’agrumes.
Avec l’élevage sur lie** , que nous poursuivrons jusqu’à mi-décembre, d’autres arômes plus floraux vont compléter la palette. Grâce aux lies, une finesse de bouche et une amplitude vont apparaître. Laissons faire le temps.
Quant aux rouges ils viennent d’achever leur fermentation alcoolique. Nous avons tout pour faire un grand millésime.
Belle tenue en bouche, arômes de fruits confits, palais aux tanins bien fermes mais là aussi pas de précipitations. Il reste du chemin ; une seconde fermentation (la fermentation malolactique***, toujours un peu délicate), écoulage, soutirages, entonnage ….
Pendant que les fermentations du millésime 2022 se terminent, le millésime 2021, quant à lui, se fait un peu oublier. Aux dernières dégustations, il semblait avoir bien profité de ses 9 premiers mois d’élevage en foudre barrique et en cuve. Nous vous en dirons plus bientôt !
* Fermentation : procédé durant lequel le sucre du jus de raisin se transforme en alcool.
** Élevage sur lie : technique qui permet au vin de développer des arômes plus complexes.
*** Fermentation malolactique : méthode servant à apporter de la souplesse et de la rondeur au vin.
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Être éco-responsable
Être éco-responsable
Voilà un bien joli mot très en vogue ! Ce concept veut que nous soyons économes en énergie et que nous limitions nos impacts environnementaux. Penchons nous davantage sur ce sujet en faisant un saut dans le temps…
L’agriculture dans les années 20

C’est en fouillant dans le passé que nous nous rendons compte que tous ces préceptes existaient déjà dans les années 1920 !
Prenons l’exemple des engrais verts, méthode que nous utilisons tant pour la vigne que pour le maraîchage :
« Les engrais verts sont constitués par des végétaux cultivés non pour être récoltés, mais pour être enfouis dans le sol. Les engrais verts peuvent être cultivés et enfouis sur place ou bien être apportés du dehors. Les plantes qui sont propres à être cultivées pour être enfouies sur place en vert sont celles qui puisent dans l’air l’azote dont elles ont besoin pour se nourrir [..] »
Extrait du Larousse Agricole de 1921
Désormais on nomme cela « agroécologie* : » ; ce nouveau mot a simplement été trouvé pour qualifier ce que le monde agricole appliquait déjà depuis longtemps. Mais depuis les années 50 l’agriculture a beaucoup évolué comme toute la société, et parfois pas dans le sens écologique !
Une transition nécessaire

Mon père, génération pourtant peu encline à employer le mot « environnement », a débuté cette transition. Il a été un des précurseurs d’un grand mouvement écologique sans le savoir !
Transition que nous avons perpétuée et beaucoup faite évoluer depuis les années 80, notamment en convertissant nos vignes en bio dans les années 90.
Et aujourd’hui ?

Grâce à tout cela, nous pouvons aujourd’hui déclarer nos sols en « carbone positif » ; c’est à dire que nos vignes profitent au maximum du CO² de l’atmosphère pour faire de magnifiques feuilles qui nourriront abondamment le raisin grâce à la photosynthèse**.
Puis, en hiver, les feuilles tombent au sol et les sarments***, préalablement retirés du palissage, sont broyés.
Toute cette matière se décompose et se transforme en humus, qui enrichit la terre et apportera les besoins nécessaires à la plante afin d’entamer un nouveau cycle.
En réalité nous ne sommes que des facilitateurs de ce magnifique processus naturel. Nos vignes, dans cet environnement écologiquement soigné, donnent donc le meilleur d’elles-mêmes pour produire des vins « éco-responsables » de très bonne qualité.
Glossaire
* Agroécologie : principe de cultiver avec la nature en respectant la biodiversité.
** Photosynthèse : procédé consistant en la captation de la lumière du soleil par les feuilles pour la transformer en énergie pour la plante.
*** Sarments : rameaux de l’année coupés lors de la taille annuelle de la vigne.
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Quiche aux poireaux

Quiche aux poireaux
Ingrédients
- 80 gr de farine
- 40 cl de crème liquide
- 4 poireaux (utiliser seulement le vert et garder le blanc pour un velouté ! )
- 100 gr gruyère râpé
- 4 oeufs
- 120 gr de poitrine fumée coupée en tranches (prendre des lardons le cas échéant)
Notes
Préparation
Préchauffer le four à 180°C. Et faire chauffer le cuit vapeur (si vous n’en n’avez pas, faire chauffer de l’eau bouillante) Couper les verts de poireaux en rondelles assez fines (plus c’est fin, plus ça cuit vite!). Et les mettre une dizaine de minutes dans le cuit vapeur (ou dans l’eau bouillante). Couper en lamelles la poitrine fumée et la faire revenir dans la poêle pour les faire dorer quelques minutes. Mélanger les oeufs, la crème, la farine puis le gruyère. Après avoir beurré et fariné un moule à tarte, verser la préparation, puis rajouter les poireaux et la poitrine fumée. Mettre au four pendant une trentaine de minutes. Bon appétit !L’équipe du Château le Parvis
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Succès du marché fermier grâce à vous, merci !
Succès du marché fermier grâce à vous, merci !
Une journée mémorable dans l’histoire du Château le Parvis qu’a été ce samedi 15 octobre 2022. Vous avez été nombreux(ses) à venir et nous vous en remercions.
Merci également aux petites mains qui nous ont aidées ainsi que les producteurs présents :
– Charlotte de Bocerno qui vous a fait craquer avec ses délicieux cookies et ses sublimes huiles de noix,
– Alison de la Chevri’air qui vous a régalé avec ses précieux fromages de chèvre,
– Maryline du Food Truck MÂÂ qui a su égayer vos papilles en sublimant les légumes du Château !
Nous partageons ces quelques clichés de cette journée ensoleillée pleine d’énergie et de bonne humeur.
Vous êtes producteur ou vous connaissez un producteur
qui serait intéressé par notre marché fermier ?
N’hésitez pas à nous contacter en cliquant >> ici <<
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3ème édition de notre marché fermier ce samedi 15 octobre au Château !
Marché fermier du Château le Parvis
ce samedi 15 octobre 2022 !

Toute l’équipe du Château le Parvis vous invite ce samedi 15 octobre de 10h à 16h pour notre marché fermier automnal !
A l’occasion de cette 3ème édition, vous retrouverez nos vins, nos légumes et nos œufs, mais pas que ! D’autres producteurs de la région nous ont rejoint (voir ci-dessous).
Des visites de nos chais et de nos cultures seront assurées par Olivier entre 14h et 16h.
La restauration sur place est prévue grâce à Maryline du MÂÂ Foodtruck qui nous concoctera de délicieux plats réalisés avec les légumes du Parvis !
Producteurs présents

La Chevri’Air
Nous accueillons pour cette édition Alison, productrice de fromages de chèvre à St Genès de Lombaud.
Véritable passionnée, c’est avec plaisir qu’elle vous fera découvrir ses fromages produits grâce au lait de ses 44 chèvres.
Pour en savoir plus sur la Chevri’air : page facebook.

Huiles Bocerno
Laissez-vous séduire par les douces huiles de noix de Charlotte !
Les huiles produites par Charlotte et son équipe sont d’une qualité exceptionnelle. Telle une œnologue, elle saura faire voyager vos papilles à partir d’une simple cuillère de ce délicieux élixir 🙂
Vous seront proposées également farine de noix (idéale en pâtisserie) et noix.
En savoir plus sur Bocerno : site internet et page facebook
Restauration sur place

MÂÂ Foodtruck
Maryline vous fera voyager avec sa cuisine inspirée de la Thaïlande, du Vietnam et de Bali.
Cuisinés avec les légumes du Château le Parvis, elle vous proposera du bœuf au basilic thaï accompagné de riz (ou curry de légumes au lait de coco), des nems au poulet et des samoussas végétariens.
Les desserts ne sont pas en reste avec ses délicieux fondants au chocolat et cheese cake citron spéculoos faits maison et avec amour !
En savoir plus sur le MÂÂ Foodtruck : page facebook
L’image a été récupérée sur le site Place to be.
D’autres producteurs peuvent encore se rajouter à cette liste dans la semaine 😉
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Cadillac tour édition 2022
Dégustation de nos vins en plein Bordeaux avec le Cadillac tour 2022 !
Un rendez-vous incontournable !

Retrouvez Nicolas à la CUV Saint Michel, 7 place du Maucaillou à Bordeaux dans le quartier Saint Michel pour une dégustation de nos vins ce jeudi 13 octobre 2022 à partir de 17h à l’occasion de la 4ème édition du Cadillac tour de Bordeaux.
Véritable moment d’échange avec le public, cet évènement est une véritable opportunité de faire connaître notre appellation Côtes de Bordeaux.
Une occasion de découvrir ou redécouvrir nos différents millésimes accompagnés des conseils de dégustation de Nicolas et d’une bonne ambiance garantie !
Nous tenons à remercier le Syndicat Cadillac Côtes de Bordeaux pour son article à l’occasion de cet évènement.
Mais qu’est ce que le Cadillac tour ?

C’est un véritable évènement pour les viticulteurs des appellations Cadillac Côtes de Bordeaux, Cadillac et Premières Côtes de Bordeaux !
Ce rassemblement permet aux amateurs (et connaisseurs !) de vins de rencontrer les viticulteurs de ces appellations et de déguster (gratuitement) leurs vins chez des cavistes de Nouvelle Aquitaine.
Les images de cette article sont tirées du site de la CUV Saint Michel.
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Vendanges 2022
Vendanges 2022
Les vendanges 2022 se sont terminées il y a quelques jours.
Commencées bien précocement (au mois d’Août), elles se sont poursuivies à un rythme normal d’un cépage tous les 7 à 10 jours.
Cela permet de laisser à chacun d’entre eux le temps de prendre sa pleine maturité. Nous avons commencé par les cépages blanc (le Sémillon et le Sauvignon blancs), poursuivi par le Merlot, puis le Cabernet Franc pour terminer par le Cabernet Sauvignon.
Afin de fêter dignement tous ces jours de labeur par le froid hivernal puis le bien chaud été 2022, il nous tarde de fêter la Gerbaude* édition 2022 !
* A l’origine fête de la fin des moissons, le terme « Gerbaude » a été transposé dans la région bordelaise comme étant la fête de fin des vendanges. Elle réunit toutes les personnes ayant participé à la culture et aux vendanges de l’année écoulée.
Tendances du millésime 2022

La quantité
La quantité sera bien faible.
Ceci est en partie dû au long été sans pluie notable qui est passé par là !
Le dicton : « C’est août qui fait le jus » est révélé bien exact. 10 mm de pluie seulement accumulé à juillet déjà bien sec aussi n’ont pas beaucoup aidé.

La qualité
Elle sera au rendez vous !
Toutefois il faudra s’attendre à un profil assez différent de d’habitude ; les tanins sont très présents et très mûrs.
Comme toutes les années sèches, l’acidité est manquante. Ce sera donc un vin très présent dès sa jeunesse mais son potentiel de vieillissement ne dépassera sans doute pas 6 à 8 ans.
Comptez sur Nicolas, Maître de chai, sous l’œil avisé d’Olivier pour vous préparer un millésime 2022 dont vous vous souviendrez !
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Ramassage des courges
Ramassage des courges
Ça y est ! La récolte a commencée ! Nous n’avons pas été trop de 4 pour les ramasser ! Technique rapide et efficace dont voici le secret (vidéo).
Courges spaghettis, Rouges vif d’étampes (spécial Halloween !) et Butternuts ont été récoltées.
Nous attendons encore un peu pour ramasser les potimarrons qui finissent tranquillement leur croissance.
Vous retrouverez bientôt nos courges sur nos étals !




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Astuces pour vous aider à choisir le bon melon
Astuces pour choisir le bon melon !



Nous connaissons tous le melon Charentais avec sa chair orangée sucrée mais plein d’autres variétés existent !
En plus du melon Charentais, nous cultivons cette année du melon jaune Canari et du melon Retato Degli Ortolani.
Mais lequel choisir ?
Chacun a ses particularités et nous allons les découvrir ensemble.
Le melon Charentais

Fruit phare de nos étals l’été, le melon Charentais est sûrement le melon le plus connu en France.
Très caractéristique avec ses stries vertes et sa peau relativement lisse, nous les récoltons lorsque sa teinte passe du vert au jaune et lorsque le pédoncule est craquelé.
Sa chair orange est sucrée et juteuse. Ce melon est particulièrement parfumé.
Il ne se conserve pas longtemps, il faut le consommer rapidement après achat.
Le melon jaune Canari

Ce melon commence a se faire une place sur les étals de l’été.
Pour les amoureux de l’Espagne, il n’a aucun secret pour vous ! En effet, il est omniprésent sur les marchés espagnols.
C’est une variété de melon à chair blanche et très sucrée qui est récoltée lorsqu’il est aussi jaune qu’un canari (d’où son nom) !
Il est de grande taille et est d’excellente conservation (comme une courge). En le laissant au frais (dans une cave ou un frigo), il pourra ravir vos papilles en automne / hiver !
Le melon Retato Degli Ortolani

Melon très peu connu en France, le melon Retato Degli Ortolani est une variété traditionnelle italienne.
C’est un melon dit « brodé » (de par sa peau). Il est de forme oblongue comme un ballon de rugby.
Il est récolté lorsque son écorce prend un reflet doré.
Sa chair est orangée et son goût est très fin.
Contrairement à son homologue Charentais, le Retato Degli Ortolani a une bonne capacité de conservation.
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Magnifique spectacle dans les vignes
Magnifique spectacle dans les vignes



La véraison, qu’est ce que c’est ?
La véraison est la période durant laquelle le raisin change de couleur ; du vert au noir en passant par des nuances de parme pour les rouges et du vert au jaune pour les raisins blancs.
Ce mélange de teintes nous offre un magnifique panel de couleurs.
Cette année, la véraison avance bien et annonce des vendanges prometteuses malgré la sécheresse. Les vendanges approchent donc à grands pas !
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La courgette ronde : un concentré de douceur !
La courgette ronde : un concentré de douceur !

Souvent cantonnée à la courgette farcie, la courgette ronde est souvent boudée des consommateurs.
Pourtant, sa douceur fait d’elle la courgette idéale pour toutes vos recettes ! En poêlée, en gratin, en quiche … elle s’adapte à tout.
Passé cette idée reçue, vous ne pourrez plus vous en passer !
Recettes de courgettes proposées sur le site
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Confiture de melon basilic

Confiture de melon et basilic
Ingrédients
- 3 kgs de melon
- 2 bouquets de basilic
- 1,5 kg de sucre à confiture
- 3 citrons (optionnel)
Notes
Préparation
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Gaspacho tomates et concombre

Gaspacho de tomates et concombre
Ingrédients
- 1 kg de tomates
- 1 concombre
- 1 poivron
- 2 gousses d'ail
- 1 cs d'huile d'olive
- sel au céleri (ou sel traditionnel, au choix)
- poivre
Notes
Préparation
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Succès de la 2ème édition des saisonnades
Succès de la 2ème édition des saisonnades
Merci !
Vous avez été nombreux à être présents pour cette 2ème édition de notre saisonnade. Merci beaucoup !
Merci à Wilfried du Lilie’s Burger qui a assuré la restauration sur place avec ces burgers aux légumes du Château !
Souffrantes, Gaëlle la boulangère de Quinsac et Isabelle alias Mamie Zinzin n’ont malheureusement pas pu être présentes.
On espère vous revoir pour la prochaine saisonnade qui aura lieu en Octobre (date à définir) avec toujours de la restauration sur place et (on espère ! ) d’autres producteurs !
Découvrez quelques clichés de cette journée ensoleillée dans la galerie ci-dessous 🙂












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Tomates à la provençale

Tomates à la provençale
Ingrédients
- 1 kg de tomates rondes
- Huile d'olive
- Herbes de provences
- Sel
Notes
Préparation
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Curry d’aubergines au lait de coco

Curry d’aubergines au lait de coco
Ingrédients
- 3 aubergines
- 150 ml lait de coco
- 1 cc coriandre en poudre
- 1 cc cumin en poudre
- 1 cc curcuma en poudre
- 2 cm de gingembre frais
- 3 gousses d'ail
- 2 verres de riz
- Huile d'olive
Notes
Préparation
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Quiche sans pâte à la tomate

Quiche sans pâte à la tomate
Ingrédients
- 6 tomates
- 3 cs de moutarde
- 3 œufs
- 500 ml de lait
- 120 g de farine
- 100 g de gruyère râpé
- basilic
- sel, poivre
- huile pour le moule
Notes
Préparation
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Caviar de courgettes

Caviar de courgettes
Ingrédients
- 500 g courgettes
- 500 g de tomates
- 4 gousses d'ail écrasé
- 1 oignon
- 4 cs d'huile d'olive
- persil haché
- feuilles de laurier
- 1 cc de cumin
- 1 cc de paprika
- poivre, sel
Notes
Préparation
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Purée de pommes de terre

Purée de pommes de terre
Ingrédients
- 1 kg de pommes de terre
- 15 cl de lait
- 20 gr de beurre
- 2 gousses d'ail
- 1 à 2 cc de muscade
- sel et poivre
Notes
Préparation
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Frites maison au four

Frites maison au four
Ingrédients
- 1 kg de grosses pommes de terre
- 2 cs huile d'olive
- sel
Notes
Préparation
Préchauffer le four à 220°C.Retourner sur la page des recettes
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Tortilla de pommes de terre

Tortilla de pommes de terre
Ingrédients
- 600 g de pommes de terre
- 1 oignon
- huile
- 8 oeufs
- poivre
- sel
Notes
Préparation
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Roulés d’haricots verts et bacon

Roulés d’haricots verts et bacon
Ingrédients
- 400 g d'haricots verts
- 8 tranches de poitrine fumée
- sel
Notes
Préparation
Après avoir équeuté les haricots, les faire cuire dans un casserole d’eau salée pendant 10 minutes.Retourner sur la page des recettes
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Saisonnade du Château le Parvis ce samedi 9 juillet 2022 !
Saisonnade du Château le Parvis
ce samedi 9 juillet 2022 !

Toute l’équipe du Château le Parvis vous invite ce samedi 9 juillet de 10h à 16h pour notre saisonnade estivale !
A l’occasion de cette 2ème édition, vous retrouverez nos vins, nos légumes et nos œufs, mais pas que ! D’autres producteurs de la région nous ont rejoint (voir ci-dessous).
Des visites de nos chais et de nos cultures seront assurées par Olivier de entre 14h et 16h.
Afin de gagner du temps, vous avez la possibilité de commander votre panier en ligne et venir le récupérer le jour J !
La restauration sur place est prévue grâce à Wilfried du Lilie’s Burger qui vous proposera un burger réalisé avec les légumes du Parvis !
Autres producteurs présents

Mamie Zinzin
La volonté d’Isabelle est de travailler artisanalement les fruits et légumes sélectionnés auprès des producteurs bio de proximité (dont nous !). Un gage de qualité et de sécurité!
Elle sélectionne prioritairement des producteurs bio locaux du Sud Ouest.
Laissez-vous tenter par ses préparations originales dans le respect et la valorisation du fruit/légume originel.
Pour en savoir plus : Site internet de Mamie Zinzin

Galinette, pain au levain naturel
Reconversion professionnelle réussie !
Gaëlle s’est installée il y a quelques mois à Quinsac où elle prépare entre autre pains au levain naturel, brioches et pains sans gluten…
Jeune, souriante et dynamique, ses pains savoureux vous feront craquer !
Pour en savoir plus : Page facebook de Galinette, pain au levain naturel
D’autres producteurs se rajouteront à cette liste dans la semaine 😉
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On fête le vin ce week-end à Bordeaux !
Bordeaux fête le vin, le Château le Parvis aussi !

Olivier et Nicolas vous accueilleront ce samedi 25 juin de 16h à 20h sur les quais de Bordeaux au Stand 1 à l’occasion de l’évènement « Bordeaux fête le vin » !
Vous y dégusterez nos vins Bordeaux rouges, Claret d’une nuit et Bordeaux blanc accompagnés des précieux conseils dégustation de nos experts !
A samedi !
En savoir plus sur l’évènement : https://www.bordeaux-fete-le-vin.com/
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A quand la 1ère tomate de la saison 2022 ?
A quand la 1ère tomate mûre ?

Les paris vont bon train au Parvis pour savoir la date de la 1ère récolte de tomates !
1er juin ? 6 juin ? A vous de jouer !
Si vous trouvez la bonne date, nous vous offrons 500g de tomates
à votre passage au magasin ! A vos pronostics !
Note : la photo ci-contre a été prise le 19 mai.
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Édition 2022 de la Foire des Vignerons de Bertrix
Édition 2022 de la Foire des Vignerons de Bertrix

Amis ardennais bonjour !
Comme chaque année, retrouvez-nous à la foire des vignerons de Bertrix, place des 3 fers le vendredi 22 avril de 18h à 20h, le samedi 23 avril de 14h à 22h et le dimanche 24 avril de 11h à 19h.
Olivier et Nicolas seront ravis de vous accueillir sur leur stand pour vous faire découvrir et/ou redécouvrir nos vins (blanc, rouge et claret d’une nuit).
Et comme on est très gentils, on vous offre une petite surprise !
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Salade de poulet et pommes rôties

Salade de poulet aux pommes rôties
Ingrédients
- 1 salade
- 3 pommes type "golden"
- 150 gr roquefort
- 5 figues séchées
- 2 escalopes de poulet
- 250 gr champignons (petite préférence pour les shitakés ! )
- 3 gousses d'ail
- huile de noix
Notes
Préparation
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Poêlée de fèves mangetout et oignons nouveaux

Poêlée de fèves mangetout et oignons nouveaux
Ingrédients
- 4 grosses poignées de jeunes fèves
- 1 botte d'oignons nouveaux
- noix de beurre demi sel (préférer le beurre doux si vous y ajouter des lardons)
Notes
Préparation
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La dégustation du vin
La dégustation du vin
Eugène, le tonton vantard se prétend spécialiste après 1h30 d’initiation à l’œnologie grâce à une MachinBox pendant la réunion de famille…Pas d’inquiétude ! La modestie et la mise en mot de vos perceptions visuelle, olfactive et orale sont les plus grandes qualités d’un dégustateur. La prochaine fois, ce sera vous l’expert. Nicolas vous explique comment savourer un vin et le raconter.
Préparer son vin

• Mettez le vin à bonne température :
Vins rouges : température ambiante (16 à 18°C)
Vins blancs et rosés : au frais (8 à 10°C)
• Aérer le vin pour exploiter son plein potentiel : idéalement, débouchez-le 24h avant ou versez-le dans une carafe quelques temps avant le repas (valable que pour les vins rouges).
En respectant ces consignes, votre vin donnera le meilleur.
Son nez s’ouvrira comme par magie grâce à l’oxygénation et ses tanins s’assoupliront.
Observer sa robe

Votre vin est prêt à être apprécié. Observons le maintenant de plus près :
• la surface de votre vin : la force de sa brillance et sa clarté (limpide ou opaque)
• la couleur de sa robe (évolue avec le temps) :
Vins rouges : du violacé (vin jeune) au rouge orangé (pour les plus vieux vins) en passant par le grenat ou le rubis.
Vins blancs : du jaune pâle à intensité variée avec parfois des reflets verts pour les blancs, leur robe évolue avec le temps, vers une couleur ambrée, voire dorée.
Vins rosés : rose pâle, saumon ou grenadine pour s’orienter vers des tons plus orangés.
Exercer son nez

L’odorat ou le nez est le puissant pouvoir du dégustateur. Faites tourner légèrement votre verre et sentez !
Le « nez » d’un vin peut compter plusieurs arômes différents, il est alors qualifié de « complexe », ou à l’inverse, n’en détenir que peu, il est alors dit « simple ».
Petit lexique de description des arômes (à emporter dans votre sac) :
• Les arômes fruités : fruits rouge, fruits exotiques, etc.
• Les arômes épicés : cannelle, poivre, etc.
• Les arômes floraux : violette, fraise, etc.
Distinguer les saveurs

Quatre phases vous permettent de décrire votre vin :
• L’attaque : ensemble des saveurs (sucrées notamment) perçues en bouche lors des premières secondes.
Exemple : Pour un « Bordeaux blanc » sec : saveurs fruits exotiques avec une légère sucrosité.
• Le milieu de bouche : rassemble les saveurs repérées durant les quelques secondes suivantes.
Exemple : pour un « Côtes de Provence » on notera les saveurs fruitées, de fruits rouges, et son côté amylique (type bonbon Arlequin), avec une sensation fraîcheur et une légère acidité.
• La note finale : c’est l’astringence qui ressort. Plus le vin est jeune, plus les tanins sont rugueux. En vieillissant, ils deviennent plus souples.
Exemple : pour un « Languedoc », les tanins sont très présents (dus aux cépages et à la maturité du raisin)
• La longueur en bouche (ou arrière-goût) : courte, moyenne ou longue.
Exemple : pour un « Gewurztraminer », la longueur en bouche assez forte. Sa palette aromatique complexe (épices, rose, fruits exotiques) lui donne une identité très forte.
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Un hiver au Parvis
Un hiver au Parvis
L’hiver est propice à la réflexion. C’est le temps des bilans de l’année passée et de l’élaboration des futures campagnes.
Cependant, au Parvis, la fourmilière reste en action dans les vignes et dans les chais.
Voici les missions pendant cette fraîche période.

La taille des vignes
La taille de 25 000 pieds de vigne représente 40 journées de travail complètes.
L’initiation de l’équipe au savoir faire se fait sous l’œil vigilant de Nicolas qui compte 5 saisons d’expérience de taille (et 40 saisons pour Olivier, ça ne le rajeunit pas !)

Le maraîchage
C’est la période de planification des plantations et des semis de légumes de la saison.
Le mois de février est également propice à l’épandage du fumier et à la préparation les terres pour les premiers plants de l’année.
Les semis et les plantations s’enchaîneront sans discontinuer jusqu’en octobre.

La mise en bouteille
Préparer la mise en bouteille, c’est :
– soutirer (transférer le vin d’une cuve à l’autre pour en extraire les impuretés, la lie)
– assembler (sélectionner les différentes cuves pour en faire un lot équilibré)
– puis déguster !

Les poules et les œufs
Ces demoiselles demandent toujours autant de soins.
Les parcs sont déplacés en cette saison pour qu’elles continuent à dévorer de l’herbe fraîche.
En se délectant ainsi, elles nous préparent la terre qui accueillera par la suite de savoureux légumes.
Nous ne leur avons jamais avoué que leur plaisir nous évitait bien des efforts.
Merci à nos poulettes !
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Une équipe de choc !
Édito – Une équipe de choc !

Faire, savoir faire et faire savoir.
Au Parvis on fait, avec notre savoir faire et on le fait savoir !
Et surtout, on partage ce savoir, cette passion.
L’équipe du Parvis est animée par la même vocation : cultiver la terre et en extraire le meilleur.
La qualité de nos vins est le résultat de cet engagement.
Voici l’équipe éclectique de Dom Tapiau !
Cristina
Après une formation violoniste et quelques petits boulots dans la manutention et le maraîchage, Cristina arrive chez nous et se passionne avec force et caractère pour la vigne et la culture maraîchère.
C’est un esprit neuf qui n’hésite pas à partager ses opinions.
Florence
Ma charmante épouse ! Après avoir quitté le monde médical lors de son embarquement dans le mariage, Florence est la responsable comptabilité / administratif de notre exploitation.
Un travail de titan. Elle vous confira même : j’adore les chiffres !
Nicolas
De formation viticole, Nicolas regarde avec justesse et enthousiasme vers l’avenir des vins ; les nouveaux cépages résistants aux maladies, les méthodes culturales originales…
Pauline
Au départ webdesigner, elle a ensuite œuvré aussi dans les espaces verts, pour ne vivre aujourd’hui qu’avec une binette à la main.
En plus de mettre à profit sa web expérience, elle se consacre avec ardeur à la gestion de l’atelier production de légumes.
Elle sait désormais parfaitement ce qu’est mildiou, rotation de culture ou lit de semence.
Et pour ma part, j’ai signé ma 33ème déclaration de récolte en octobre 2021, tout en jouant au chef d’orchestre.
Ainsi, les vins que vous dégustez sont issus de l’assemblage de ces mains hardies et audacieuses.
Chacune d’elles tente de percer le mystère d’un vin exceptionnel. Par tous les temps, selon les saisons, elles élaborent pour vous, avec attention, ce nectar tant apprécié, même au-delà de nos frontières.
Olivier, viticulteur passionné
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Poules prêtes à cuire en pré commande !
Commandez vos poules prêtes à cuire !
Nos poules prêtes à cuire seront disponibles à partir du vendredi 28 avril.
Le prix est fixé à 6 € le kg. Le poids d’une poule varie entre 800g à 1,2 kg.
Réservez dès à présent en remplissant le formulaire ci-dessous ; vous règlerez lors de votre passage.
Remise de 10 % à partir de 4 poules commandées !!!
Note : il n’y aura donc plus d’œufs en vente entre le 27 avril et le 29 mai environ.
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Les Sarments solidaires
Les Sarments Solidaires

Ce vendredi 28 janvier, la vaillante équipe de l’association « Les Sarments Solidaires » sont venus au Parvis ramasser nos sarments et pieds vigne afin de les conditionner en sac pour vos barbecues.
Courageusement ils ont affronté le froid de ce jour sans soleil a ciel très bas, un peu morose. Mais la bon-humeur y était … vécue !!
Les produits de ces ventes sont offerts au profit d’ associations caritatives des domaines de la santé (enfance en particulier) et de la lutte contre la pauvreté.
Pour en savoir plus : http://les-sarments-solidaires.saintmedardasso.fr/
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On s’arrache !
Allez, on s’arrache !

Les générations changent. Ce jour de janvier nous achevons l’arrachage de 35 ares de vignes de cépage Merlot.
Après avoir données le meilleur d’elles-mêmes 31 ans* durant, il est temps de penser au renouvellement des générations.
Comme nous avons pour habitude de le faire, cette parcelle va être consacrée plusieurs années à d’autres cultures pour enrichir le sol : de la luzerne pendant 2 ans puis des cultures légumières pendant 3 à 4 ans (pommes de terre, fèves, …).
Lors de la future plantation de vigne, la terre sera ainsi reposée de toute culture de vigne évitant de toxiques traitements chimiques pour débarrasser le sol de virose et autres parasites hôtes de la vigne.
C’est ainsi que s’opère la rotation des cultures au Château le Parvis. Cette technique de rotation pourtant très ancienne, et de bon sens ne se pratique plus en Gironde.
Les vignerons de notre contrée ont boudé les autres cultures, et se sont embourgeoisés dans la monoculture vigne …
Olivier
Suivez la suite des évènements avec le ramassage des sarments et des pieds de vignes par l’association les Sarments Solidaires !
* Arracher des ceps que j’ai moi-même planté il y a 31 ans fait bien sûr un pincement au cœur en plus de rappeler le temps qui galope …
cela devrait me faire grandir en sagesse … devrait !
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