Catégorie : actus site

Nouvelles des vins millésimés 2023 !

Nouvelles des vins millésimés 2023

Voilà les vinifications 2023 terminées depuis mi-novembre de cette année. Les dégustations d’appréciation du millésime vont pouvoir se faire mi décembre. Focus les prévisions des millésimes 2023.

Le froid, notre allié pour des millésimes réussis !


Après le travail tant méticuleux qu’acharné du vigneron, laissons maintenant travailler le froid.

Ce dernier est un allié important dans le processus de clarification du vin, tant pour notre Bordeaux Blanc, que notre Clairet ainsi que nos Côtes de Bordeaux Rouges (Élite et Tradition).

Nos Blanc et Clairet sont prometteurs et vous réservent de très bonnes surprises pour le printemps 2024 !

Laissons les encore quelques mois, le temps de se débarrasser naturellement de ce qui les trouble (ils seront bien limpides au printemps).

Pour les rouges, les fins de fermentation malolactiques** ont été très lentes compte tenue des forts degrés alcooliques des cuvées.

Les cuvées de rouge vont aussi apprécier les froids pour se clarifier naturellement. La patience est aussi une vertu cardinale pour le maître de chai !

* clarification : processus qui consiste à rendre le vin plus limpide.
** fermentation malolactique : procédé spécifique opéré pour nos vins rouges afin de leur procurer rondeur et souplesse en bouche.

Retour sur la campagne légumes 2022 / 2023

Retour sur la campagne légumes 2022 / 2023

Tout d’abord nous vous remercions de votre engagement à nos cotés tout au long de cette année 2023. De notre coté, nous avons tenté de vous fournir des légumes extra frais et variés comme chaque année en prenant en compte vos retours (positifs et négatifs) à chaque fois.

Au chapitre des « paysans râleurs au pays des nuisibles »…


Nous avons eu des réussites mais aussi quelques ratés, mais moins que d’habitude semble t’il..

Comme nouveauté nous avons eu les ragondins qui ont ravagé les blettes, les choux raves et quelques autres choux en à peine 1 semaine en septembre.

Et je vous passe le volet chevreuils et sangliers sur les salades de cet hiver (± 100 salades détériorées prêtes à récolter).

Ces derniers passent sur tout ce qui pousse en zone fraîche et humide (ça ne manque pas en ce moment !), et ce, malgré nos efforts déployés à la protection de nos cultures !

Autant dire que le moral des troupes n’était pas au beau fixe à la découverte de ce saccage nocturne ; tant de travail réalisé, pour voir ces efforts anéantis en une nuit…

Focus sur la saison


Globalement, nous avions bien démarré la saison, un peu plus tôt que d’habitude. Puis l’été a été moyen avec des melons pas aussi goûteux qu’à l’habitude, mais de très belles et abondantes tomates, peu d’aubergines mais de jolis poivrons rouges et jaunes
Pour ce qui est des pommes de terre, certains lots étaient forts abîmés par les taupins. Puis L’automne a bien débuté même si le début a été fort sec. Puis est arrivé ce que nous subissons depuis le 18/10. Plouf plouf …

Aussi, comme vous le savez nous sommes aux « premières loges » pour subir les caprices de la météo. Bien que nous mettions tout en œuvre pour limiter les effets, connaître la météo à 30, 60 ou 90 jours est bien sûr impossible. Nous nous fixons donc sur des moyennes.

Point météo de l’automne 2023 : un épisode de pluie a débuté le 18 octobre et n’a pas vraiment cessé depuis.
388 mm à ce jour alors que les mois de novembre et décembre cumulés ont traditionnellement une pluviométrie moyenne d’environ 230 mm et 1044 mm sur 12 mois glissants pour une moyenne de 860 mm (moyenne sur 30 ans).

Les conditions de récolte sont donc fort pénibles, vous vous en doutez. Et celle des légumes d’hiver se font exclusivement à la main. Il faut porter de pleines caisses de 10 à 15 kgs sur parfois plus de 100 m, le tracteur ne pouvant pas trop s’approcher sous peine de s’embourber. Et cela sous une pluie froide (2°C la semaine dernière) parfois battante et les bottes lourdes pleines de boue. Nous sommes donc devenus des « sherpas » en plaine !!

Récolte des choux à Quinsac, automne 2023

Ainsi donc, nous avons donc perdu par asphyxie 600 salades implantées dans les palus près de la Garonne dès le début novembre.

Pour les légumes racines nous avons du tout récolté une grande partie de ce qui se trouvait dans les palus gorgés d’eau et de les mettre en jauge sur des terres sableuses, moins sensibles aux excès d’eau.

Les légumes encore implantés dans les champs sont les choux, poireaux, navets, radis et salades.

Désormais c’est au tour des choux de ne plus supporter l’eau. Les brocolis et romanesco périssent maintenant, cabus et frisés eux ont bien du mal.

Nous avons heureusement certains légumes récoltés et stockés à l’abri : les courges, pommes de terre, patates douces.

Mais cela représente peu.

Croyez bien que nous continuons à faire au mieux pour vous proposer de bons et savoureux légumes. Pensez aussi que vos bons plats s’accompagnent de délicieux vins du Parvis.

Biologiquement vôtre,
Olivier et toute l’équipe (Florence, Pauline et Cristina)

Les carottes sont arrivées !

Les carottes sont arrivées !


Quand il pleut le mercredi au Parvis, c’est que le ramassage de carottes sera réussi !

Nous avons ramassé (juste à temps !) nos carottes fanes tant attendues.

Sous la pluie certes, mais avec la satisfaction d’une bonne récolte !

La carotte est un légume qui demande beaucoup de patience et d’attention pour arriver à ce résultat !

Semées, arrosées, binées, puis binées, et encore binées .. ! Quelle satisfaction ! Nos efforts ont payé !


Retour sur la page des actualités


Marché fermier ce samedi 14 octobre au Château !

Marché fermier au Château le Parvis
ce samedi 14 octobre 2023 !


Toute l’équipe du Château le Parvis vous invite ce samedi 14 octobre de 10h à 16h pour notre marché fermier automnal !

A l’occasion de cette 5ème édition, vous retrouverez nos vins, nos légumes et nos œufs, mais pas que !
Découvrez ou redécouvres d’autres producteurs de la région qui nous ont rejoint (voir ci-dessous).

Nicolas se fera un plaisir de vous faire déguster nos derniers millésimes.

Des visites de nos chais et de nos cultures seront assurées par Olivier de entre 14h et 16h.

Autres producteurs présents


Mamie Zinzin


La volonté d’Isabelle est de travailler artisanalement les fruits et légumes sélectionnés auprès des producteurs bio de proximité (dont nous !). Un gage de qualité et de sécurité!

Elle sélectionne prioritairement des producteurs bio locaux du Sud Ouest.

Laissez-vous tenter par ses préparations originales dans le respect et la valorisation du fruit/légume originel.

Pour en savoir plus : Site internet de Mamie Zinzin

La borda d’Ambrosi, apiculture familiale


La Borda d’Ambrosi c’est avant tout une histoire de famille. Nicolas, Stéphanie et ses enfants possèdent près de 400 ruches en Apiculture Biologique au croisement des coteaux du Haut Entre-Deux-Mers et de la forêt des landes de Gascogne.

Répondant également au cahier des charges de la Certification « Nature et Progrès », les produits proposés par la famille Bouguet répondent aux exigences des consommateurs ce qui fait de leur production des mets d’exception.

Au delà du domaine de l’apiculture, la Borda d’Ambrosi se veut également vectrice de liens et d’insertion sociale.

Pour en savoir plus : Site internet de la Borda d’Ambrosi
Contribuer au financement participatif : Plus d’infos ici

Saumon Raphye


Cela fait plusieurs années que Raphaële satisfait les palais des plus grands aux plus petits grâce à ses produits à base de saumon fumés.

Son saumon, sans conservateurs ni colorant, est sublimé grâce à son savoir-faire dans la fumaison, et la transformation de ce met de qualité.

Découvrez tous les produits de Raphaële ce samedi !

Pour en savoir plus : Site internet de Saumon Raphye


Retour sur la page des actualités


Les vinifications sont en cours

Les vinifications sont en cours


Ces mots savants signifient simplement que tout fermente dans le chai. Alors que les derniers raisins viennent d’être vendangés, nous sommes proches du résultat quantitatif. La qualité sera au rendez-vous !

Un véritable rituel


Chaque matin, il y a prise des densités et des températures, puis dégustation des cuves en fermentation. Cette dégustation est un art très particulier.

Les jus sont sucrés pétillants car en fermentation et plus ou moins tanniques.

A travers tout cela nous pouvons nous faire une idée du vin futur.

Des interventions mesurées


Puis viens le moment crucial, les interventions pour chaque cuve.

Avec un chai de petite dimension, nous pouvons individualiser le travail de chaque cuvée et en extraire le meilleur.

Les possibilités d’intervention sont peu nombreuses mais ont des conséquences majeures.

Elles ne consistent pas à ajouter des poudres magiques pour avoir l’un ou l’autre goût, non. Le vin est le résultat exclusif de la fermentation du raisin.

Les interventions ne sont donc que des « brassages » (appelé remontage et délestage) plus ou moins exigeants, des aérations plus ou moins importantes, et des réchauffages ou refroidissements pour réguler la fermentation.

Voila en quelques mots résumés ce 3 mois de travail intense du maître chai, vinificateur.

Les vendanges du millésime 2023 ont commencé !

Les vendanges des millésimes 2023 ont commencé !


Remorque de raisin blanc

C’est parti ! Le top départ est donné ! les premiers raisins sont dans le chai. Nous avons commencé par le Blanc avec les cépages Sémillon et Sauvignon.

Nous sommes tout à fait satisfaits de la qualité des jus. Ouf ! Après tant de frayeur (orage, canicule, mildiou au printemps…), nous voilà bien récompensés !

C’est le résultat de longues années d’expérience qui nous a permis ce résultat. Le savoir-faire d’un vigneron bio où faire tout ce qu’il faut faire à sa vigne chérie ! Oui car il faut l’aimer sa vigne. Parfois elle se fait capricieuse, ou jalouse ou timide ….

Pas trop de poésie quand même et un peu d’humilité, le boulot n’est pas terminé ! Dans quelques jours nous récolterons le rouge pour faire le Claret d’une nuit que tant de passionnés attendent ainsi que les cuvées Rouge Tradition et Élite où il faudra retrouver les bons réflexes. Ça sera à vous de juger !

Olivier


Retour aux actualités


La cuvée « Les foudres de Dom Tapiau » est arrivée !

La cuvée « Les foudres de Dom Tapiau » est arrivée !


BIB les Foudres de Dom Tapiau - 5L - Vin de France Bio

Avec plusieurs mois de retard, la cuvée « Les foudres de Dom Tapiau » fait son grand retour !

Qu’a t’elle donc de si particulier ? Son contenu d’abord : elle est l’objet d’une sélection de plusieurs cuvées. C’est l’assemblage de vins fins et gouleyants issus de nos plus jeunes vignes. Celles-ci ont la particularité de donner des jus plus léger en couleur et moins structurés au palais.

Aussi, le cépage Merlot en majorité, lui offre rondeur et fruité. Voilà la cuvée idéale pour une consommation avec tous les menus !

Son contenant en enveloppe de 5 litres (dit BIB) est aussi fort pratique puisqu’il offre la possibilité de ne se servir qu’un seul verre sans devoir achever le solde sous peu.

A noter : une bouteille peu rester 4-5 jours entamée contrairement au contenant BIB qui lui peut rester 6 mois après avoir été entamé (car son enveloppe se réduit au fur et à mesure de la consommation sans jamais prendre l’air).

Vous apprécierez également son excellent rapport qualité-prix.
Alors n’hésitez plus !


Retour aux actualités


Plantation de raisin de table

Plantation de raisin de table


Cette année, près de 900 pieds de vigne de raisin de table ont été plantés. Voici les coulisses de la plantation.. !

Des rangs au cordeau !


1ère étape fondamentale, l’équerrage. Cette étape consiste en l’alignement des 1ers rangs.

Puis vient l’étape du piquetage. Chacun a sa mission : une personne au tracteur avec une autre derrière qui distribue les piquets, une qui positionne correctement le piquets et 2 qui plantent le piquet (appelé communément un marquant car il « marque l’emplacement de chaque plant). Et attention, le chef veille au grain !

Plantation des jeunes vignes


Nous recevons les plants en « greffés-racinés-soudés » : la greffe et le porte greffe sont soudés à la cire et le plant livré en racine nue. Juste avant la plantation, les racines sont raccourcies afin de favoriser l’enracinement définitif.

Toujours dans un souci d’optimisation et d’efficacité, une personne distribue les plants, et les autres plantent !

Se sont près de 900 pieds sur 2500 m² plantés ! Nous avons opté pour la plantation des variétés Exalta et Muscat, variétés adaptées à notre terrain. Ces variétés sont à gros grains avec beaucoup de pulpe et la peau fine (contrairement au raisin de cuve).

Suivra l’année prochaine la variété apyrène (sans pépins) Centenial.

Opération finale


Si nous voulons un enracinement optimal, il est impératif de bien arroser !

De cette manière, la terre colle aux racines ce qui favorisera un bon enracinement.

Viendra ensuite la période de la pose des piquets et des fils afin de finaliser la parcelle.

Les premières récoltes de ces raisins de table auront lieu d’ici 2-3 ans.
En attendant, vous pourrez toujours venir déguster nos actuels raisins de table Chasselas, Muscat et Cardinal d’ici quelques semaines.

Producteurs présents à notre marché fermier ce samedi 1er juillet

Marché fermier au Château le Parvis
ce samedi 1er juillet 2023 !


Toute l’équipe du Château le Parvis vous invite ce samedi 1er juillet de 10h à 16h pour notre marché fermier estival !

A l’occasion de cette 4ème édition, vous retrouverez nos vins, nos légumes et nos œufs, mais pas que ! D’autres producteurs de la région nous ont rejoint (voir ci-dessous).

Nicolas se fera un plaisir de vous faire déguster nos derniers millésimes.

Des visites de nos chais et de nos cultures seront assurées par Olivier de entre 14h et 16h.

Autres producteurs présents


Mamie Zinzin


La volonté d’Isabelle est de travailler artisanalement les fruits et légumes sélectionnés auprès des producteurs bio de proximité (dont nous !). Un gage de qualité et de sécurité!

Elle sélectionne prioritairement des producteurs bio locaux du Sud Ouest.

Laissez-vous tenter par ses préparations originales dans le respect et la valorisation du fruit/légume originel.

Pour en savoir plus : Site internet de Mamie Zinzin

La borda d’Ambrosi, apiculture familiale


La Borda d’Ambrosi c’est avant tout une histoire de famille. Nicolas, Stéphanie et ses enfants possèdent près de 400 ruches en Apiculture Biologique au croisement des coteaux du Haut Entre-Deux-Mers et de la forêt des landes de Gascogne.

Répondant également au cahier des charges de la Certification « Nature et Progrès », les produits proposés par la famille Bouguet répondent aux exigences des consommateurs ce qui fait de leur production des mets d’exception.

Au delà du domaine de l’apiculture, la Borda d’Ambrosi se veut également vectrice de liens et d’insertion sociale.

Pour en savoir plus : Site internet de la Borda d’Ambrosi
Contribuer au financement participatif : Plus d’infos ici

Saumon Raphye


Cela fait plusieurs années que Raphaële satisfait les palais des plus grands aux plus petits grâce à ses produits à base de saumon fumés.

Son saumon, sans conservateurs ni colorant, est sublimé grâce à son savoir-faire dans la fumaison, et la transformation de ce met de qualité.

Découvrez tous les produits de Raphaële ce samedi !

Pour en savoir plus : Site internet de Saumon Raphye


Retour sur la page des actualités


Participation au salon du vin bio les 3 et 4 juin 2023

Participation au salon du vin bio les 3 et 4 juin 2023


Retrouvez les vins bio du Château le Parvis au salon des vins biologiques, biodynamiques et naturels les samedi 3 de 14h à 20h et dimanche 4 juin 2023 de 11h à 19h à la ferme du Douaire, avenue des combattants, 2 à Ottignies en Belgique (plan google maps en cliquant ici).

Pour avoir votre invitation au salon :
– aller sur le site https://www.biovitis.org/mon-invitation/
– entrer le code suivant : E31453592A

En attendant de se voir, n’hésitez pas à consulter notre page des vins : https://www.chateauleparvis.fr/vignes-et-vins/nos-vins-bio/

Participation aux Journées Nationales de l’Agriculture

Participation aux Journées Nationales de l’Agriculture les 16 et 17 juin 2023


Participation du Château le Parvis de Dom Tapiau aux journées nationales de l'agriculture les vendredi 16 juin de 14h à 19h et samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h

Le Château Le Parvis de Dom Tapiau participe aux fêtes de L’Agriculture les 16 et 17 juin 2023.

Nous proposons à cette occasion des visites sur le thème : « Comment concilier Nature et Agriculture ».

Vous assisterez à nos visites commentées des différents ateliers de production :
– Culture de nos légumes
– Culture de la vigne
– Élevage des poules pondeuses
– Vins et chais.

En commençant par le sol et son fonctionnement vous verrez les différentes étapes de nos cultures.
Nous vous expliquerons aussi les différents défis de l’Agriculture Biologique, et de ceux qui en vivent.

Vous comprendrez ainsi comment tout cela s’harmonise chez nous et en fait un agro-équilibre vertueux.

Nous vous attendons vendredi de 14 h à 19 h puis le samedi de 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h.

La diversification dans le domaine viticole

La diversification dans le milieu viticole


mars 2023 pour le journal La Vigne

 Le monde viticole est en constante évolution. Le journal La Vigne a voulu en savoir plus sur les viticulteurs qui ont choisi la solution de la diversification de leur activité et les raisons pour lesquelles ils ont choisi cela. Parmi ces viticulteurs, Olivier a été interviewé sur le sujet.

Version écrite de notre passage dans cet article :

La diversification ? Fondamentale selon Olivier Reumaux, propriétaire du Château le Parvis de Dom Tapiau, 5,5 ha à Camblanes et Meynac, en Bordeaux et Côtes de Bordeaux. « Pendant longtemps, le vin a bien fonctionné. Les viticulteurs ne voulaient pas « s’abaisser » à faire de l’agriculture« , admet-il.

Salutaire diversification

C’est en 2009 qu’il se lance dans le maraîchage. Sur 8 ha de terres louées, il produit 45 variétés de légumes qu’il écoule soit dans la boutique qu’il a ouverte sur sa propriété, soit au travers d’Amap, d’une coop et dans la restauration collective. Le vigneron reconnaît que s’il était resté uniquement dans le vin, cette activité n’existerait plus aujourd’hui.
« Il faut savoir s’adapter, apprendre un autre métier« , relativise Olivier Reumaux. Ainsi, il n’a pas hésité à aller se former chez des maraîchers du Lot-et-Garonne. Et il a investi dans une pailleuse mécanique, une planteuse à légumes et une herse étrier pour le désherbage mécanique.
Avec son épouse, son fils et leurs deux salariées, il compte faire éclore d’autres projets en 2024, sur lesquels il préfère pour l’heure rester discret.


Je retourne sur la page actualités


Olivier en podcast sur RCF : agriculture, l’écologie s’impose

Olivier en podcast sur RCF :
Agriculture, l’écologie s’impose


25 février 2023 sur RCF

Interview Olivier par Dorothée Falières pour RCF : Agriculture, quand l'écologie s'impose

Découvrez le podcast sur le site de RCF en cliquant ci-dessous.

Version écrite


Dorothée Falières

Le modèle agricole qui prévaut depuis des décennies est aujourd’hui devenu une impasse.

À l’heure de l’urgence climatique, de l’effondrement de la biodiversité et de la crise sanitaire, mais aussi de la guerre en Ukraine, notre système agricole et alimentaire est devenu fragile et dépendant et une profonde transformation des pratiques s’impose aujourd’hui.

Mais comment cultiver la terre pour permettre à tous les hommes d’avoir accès à une nourriture saine sans mettre en péril l’équilibre de notre planète ? Pour nous éclairer sur ce sujet, j’ai choisi d’inviter Olivier Reumaux. Bonjour Olivier.

Olivier Reumaux

Bonjour.

Dorothée Falières

Vous avez 58 ans, vous êtes agriculteur et viticulteur à Camblanes, à 15 kilomètres au sud de Bordeaux. Vous êtes marié à Florence. Vous avez fait des études agricoles et après vos études, vous décidez de reprendre l’exploitation viticole de vos parents et de vivre de votre travail d’agriculteur. Cette reprise se fait en 90, mais en 93, vous décidez de passer l’exploitation en bio avec une certification que vous allez obtenir en 99.

Vous êtes considéré par la profession comme un pionnier dans l’agriculture biologique. Vous avez créé un équilibre original où vivent en harmonie animaux, légumes et vignes. Écoutons Olivier Reumaux nous expliquer quelles ont été ses motivations profondes pour effectuer ce virage vers une agriculture plus durable, pour nous protéger, mais aussi pour protéger notre maison commune.

En préparant cette émission, Olivier, je vous ai demandé de me citer une phrase, un extrait de texte, une rencontre et de nous expliquer pourquoi vous avez choisi ce moment, cet événement, ce lieu, ce livre et pourquoi ces questions écologiques vous intéressent. Qu’est ce que vous avez choisi de nous dire maintenant ?

Olivier Reumaux

Ce qui a vraiment motivé notre conversion dans l’agriculture biologique, il y a plusieurs éléments. D’abord, avant de m’installer comme viticulteur en 1990, j’ai bourlingué un peu comme saisonnier agricole pendant cinq ans et j’ai pu ainsi découvrir de multiples facettes du monde agricole. Je partais comme ça avec mon vélo saisonnier, je travaillais trois ou quatre mois, parfois dans les élevages en plein hiver, parfois dans les plaines céréalières où là, c’était 12 ou 13 heures de tracteur sept jours sur sept.

Mais j’ai pu comme ça découvrir d’une part tous les hommes qui faisaient cette agriculture française, mais aussi toutes ces terres, toutes ces cultures et comment est-ce que les gens arrivent à trouver des équilibres à travers leur mode de fonction à travers leur exploitation.

Ensuite, certainement plus avant, d’autres rencontres m’ont fait aussi comprendre qu’elle était un peu l’écologie dans le sens beaucoup plus large, l’écologie avec cette humanité, des personnes qui étaient de la génération de mes parents. D’ailleurs, qui, on peut citer, qui s’appellent François et Geneviève, qui m’ont fait comprendre combien il était important d’avoir un regard beaucoup plus large que simplement acheter bio.

Surtout que là, on parle des époques années 70, 80, où c’est des gens qui avaient un regard très humain sur les choses, qui savaient regarder la terre avec beaucoup d’humilité et qui savaient faire vivre vraiment leur vie d’une façon cohérente, aussi bien dans leurs paroles que dans leurs actes.

Dorothée Falières

Cette rencontre, en fait, a été assez déterminante pour vous ?

Olivier Reumaux

Totalement déterminante. Il y a eu d’autres rencontres, mais qui ont été moins marquantes.

Dorothée Falières

Et c’étaient des agriculteurs ?

Olivier Reumaux

Ils ont été agriculteurs à l’époque où nous étions au Maroc aussi. Moi, j’ai vécu sur ces terres du Maroc aussi. C’est là aussi que j’ai compris qu’il y avait différentes formes d’agriculture, différentes formes, différentes approches et qu’il ne fallait pas se standardiser par rapport à une approche. Surtout à l’approche des années 70, 80, où en France, c’était une approche très agriculture conventionnelle et on ne discutait pas et qu’il n’y avait aucune autre possibilité.

Dorothée Falières

Est ce que c’est eux qui vous ont motivé pour cette conversion en agriculture biologique quand vous avez repris l’exploitation familiale ?

Olivier Reumaux

Disons que ça fait partie des petits pions qui ont été poussés les uns après les autres et qui m’ont fait comprendre où est ce qu’il faut aller. La chose qui m’a fait comprendre qu’il fallait passer au bio, c’est quand je regardais quelques années après s’être installé. On s’est installé en 90.

Les premières années, on règle les plus gros problèmes, on essaie de surnager, sortir un peu la tête de l’eau de tout ce qui vous tombe dessus quand on est tout d’un coup un nouvel exploitant.

Je me suis essayé de me projeter dans les années qui suivent et je me suis dit « Dans cinq ans, qu’est ce qui se passe ? Dans dix ans, qu’est ce qui se passe ? Dans 20 ans, qu’est ce qui se passe ? Quelle est un peu l’exploitation ? Comment est ce que moi je la vois ? Comment est ce que demain le monde sera ? Qu’est ce qui va se passer demain ? »

Et j’ai très vite compris que le modèle agricole traditionnel conventionnel avec ses limites et surtout, cette idée du tout chimique, toute solution, tout problème a une réponse chimique.

Pour moi, ce n’était pas du tout la manière de voir les choses. Et après, il y a ce nombre de choses qui ont été confirmées quand j’ai commencé à être exploitant, dont j’ai vu les limites, effectivement, de l’agriculture conventionnelle, qu’il fallait aller vers une autre voie.

Dorothée Falières

Est ce que ça a été compliqué à cette époque, c’est à 25 ans, que ça a été compliqué vis à vis peut être de vos collègues, de vos autres amis agriculteurs ou alors est ce que c’était la profession, les coopératives ? On vous a sûrement mis des bâtons dans les roues, non ?

Olivier Reumaux

On ne m’a pas mis directement des bâtons dans les roues. Personne ne m’a empêché de passer au bio, mais ça a été un peu la risée dans le coin et par d’autres collègues. C’était surtout pris avec beaucoup d’humour. « Tiens, les écolos, les barbus, les soixante huitards, le retour sur le hasard, etc. »

Effectivement, c’était ça. Mais il y a deux choses. Ça a été compliqué à mettre en place sur l’exploitation, oui. Parce que tout d’un coup, quand on dit qu’on veut travailler différemment et qu’on veut passer au bio, il faut suivre un cahier des charges. Donc suivre le cahier des charges, d’abord, il faut le connaître et il faut se rappeler qu’à cette époque là, on n’avait aucun soutien technique de personne, ni la Chambre d’Agriculture, ni aucun soutien de rien du tout.

C’était « Débrouille toi. » Donc je me suis débrouillé, tout simplement. Et quand on allait voir parfois d’autres collègues qui étaient des anciens bio, des gens qui étaient en bio, qui y croyaient, ils donnaient très peu de leurs informations par rapport à ce qu’ils faisaient, parce qu’ils ne voulaient pas être copiés.

Dorothée Falières

Donc c’est vous même qui vous faisiez vos purins d’ortie, vos purins de prêle ?

Olivier Reumaux

On a fait beaucoup de choses nous même. On a même dû fabriquer nous même certains outils pour travailler sous les rangs de vigne, parce qu’il y avait des choses qui ne correspondaient pas à ce que je voulais. Donc on a été devenu aussi tout d’un coup…

Dorothée Falières

Un peu machiniste agricole.

Olivier Reumaux

Machiniste aussi et mécano pour se débrouiller.

Dorothée Falières

Aujourd’hui, votre vin est un vin issu de l’agriculture biologique, mais vous ne faites pas que du vin, vous faites aussi du maraîchage.

Olivier Reumaux

Il y a 12 ans, on a décidé de se diversifier parce que là aussi, je trouvais que faire de l’agriculture biologique et en faire une monoculture, c’était aberrant.

À l’époque, il y a 12 ans, quand on disait qu’on allait faire du légume, là aussi, ça a été trouvé un peu ridicule par tout le monde. L’avenir nous a donné raison, mais c’était pour donner un nouvel agro-équilibre à notre exploitation, parce qu’on avait des cultures pérennes avec des produits transformés qui se buvaient à long terme et que tout d’un coup, on passait à des cultures annuelles dont le cycle était très, très court.

Et on a même continué notre évolution en mettant un atelier de 250 poules pondeuses pour pouvoir avoir à la fois des cultures annuelles, des animaux qui sont des monogastriques. Et on a aussi quelques brebis, mais ça, c’est surtout pour la consommation familiale, mais qui sont très utiles dans les vignes, notamment en hiver, avec des polygastriques. Grâce à ça, on arrive à avoir un agro-équilibre entre différents pans de la culture et de la nature.

Dorothée Falières

Sur votre site web, vous donnez donnez un nom assez rigolo quand vous parlez de vos moutons dans vos vignes, vous dites que c’est… ?

Olivier Reumaux

Nous, on appelle ça la tondeuse 4-gigots.

Dorothée Falières

Ça m’a fait rire. Aujourd’hui, la valorisation de vos produits, elle se fait via des marchés, j’ai vu.

Olivier Reumaux

On ne fait pas de marché. Ce que nous faisons, c’est la vente directe sur place, d’une part, pour tout ce qui est de nos légumes en tout cas. Tout ce qui est de nos légumes et de nos vins, c’est vente directe sur place, d’une part. D’autre part, on livre des AMAPs. On livre quatre AMAPs ici sur le coin et on travaille avec la restauration collective des communes environnantes.

Dorothée Falières

Oui, j’ai vu les cantines.

Olivier Reumaux

Les cantines, c’est ça, tout à fait. Et depuis maintenant deux ans, on travaille avec un magasin qui s’appelle Le BREC, qui est à Créon, qui est une coopérative de producteurs dans lequel on produit. Vous pouvez trouver nos œufs là bas, en particulier, parce qu’on fait partie de ceux qui ont les œufs sur place.

Dorothée Falières

Donc, en fait, vous avez réussi à faire du circuit court et de la vente directe pour écouler l’ensemble de vos produits. Est ce qu’aujourd’hui, vous conseilleriez, par exemple, à quelqu’un qui veut se lancer en disant « Vas y, c’est ce qu’il faut faire aujourd’hui ».

Olivier Reumaux

Je dirais, à mon sens, il y a plusieurs sortes d’agriculteurs. Il y a ceux qui veulent voir un peu plus loin que demain, auquel cas l’agriculture bio est indispensable, mais il faut la voir d’une façon beaucoup plus large et beaucoup plus ouverte.

Le seul souci, comme un peu toutes les entreprises, il faut avoir cinq ans d’avance dans ses projets. Certes, aujourd’hui, c’est un peu difficile avec toutes les choses qui sont arrivées d’ici les trois dernières années, d’avoir des projets sur du dossier long terme. Mais c’est indispensable de se projeter un peu parce qu’on ne peut pas tout d’un coup faire de l’agriculture tout court et faire de l’agriculture bio encore plus en se disant « Je ne fais de l’agriculture que cette année, je ne fais de l’agriculture bio que cette année. » Parce qu’ on travaille vraiment sur du vivant et sur du long terme.

Dorothée Falières

Sur du long terme, oui. Est ce qu’aujourd’hui, par exemple, tous les agriculteurs pourraient ou devraient passer en bio ?

Olivier Reumaux

Là, c’est un sujet extrêmement compliqué. Devraient, bien sûr, mais pourraient, je ne le pense pas, parce qu’il reste aujourd’hui quand même des gens qui ne sont pas prêts à acheter en bio. Et quoi qu’on en dise, même si on a soi-même des convictions, il faut bien reconnaître que certains ne veulent pas acheter des bio, tout simplement.

Dorothée Falières

Pour des raisons financières ?

Olivier Reumaux

Pour des raisons financières, mais le problème de raisons financières, c’est qu’on voit la chose très souvent dans le mauvais sens. Si on dit l’alimentation, c’est cher. Alors, il ne faut pas voir les choses comme ça mais la question qu’il faut se poser c’est « Quelle est la proportion de son budget qu’on va mettre dans l’alimentation ».

Et est-ce qu’on préfère mettre 15 % ou 10 % comme c’est le cas de beaucoup de gens aujourd’hui et par contre mettre 20 à 30 % dans ses vacances ? Ou parfois mettre un peu plus, ce n’est pas grand-chose de plus, c’est 4-5 % de plus mais, acheter des produits bio.

Et surtout ce sont des produits qu’on peut, si on transforme soi-même ses produits dans la cuisine, on a des produits à prix très raisonnables parce qu’on cuisine soi-même et on a de la fraîcheur, tous les avantages.

Dorothée Falières

On parle beaucoup de la détresse des agriculteurs aujourd’hui, j’ai envie de vous poser la question : est ce qu’aujourd’hui vous êtes heureux dans votre métier ? Ça à l’air mais je veux vous l’entendre dire.

Olivier Reumaux

Je suis extrêmement heureux dans mon métier parce que d’abord, je fais quelque chose qui me passionne. J’ai la chance également de travailler avec une équipe extrêmement motivée avec Pauline, Cristina, Nicolas et Florence aussi ma femme.

Et avec ça on forme une équipe qui est très soudée. Tous ont une force de proposition pour ce qu’on fait, ce qui fait que je n’ai pas du tout le sentiment d’être seul aujourd’hui ; même si beaucoup de décisions, je les prends tout seul. Mais je suis beaucoup conseillé et aidé par mes collègues, donc ça aide beaucoup.

Quant à être heureux, ça, je le suis complètement. Mais collègues me disent « Bon, ok, d’accord mais pas plus d’un projet par jour, sinon on ne va pas pouvoir le faire ».

Dorothée Falières

C’était un peu ma dernière question, j’avais envie de vous dire, est ce que vous pouvez me donner un petit projet, un projet comme ça qui vous trotte dans la tête, que vous aimeriez mettre en place, je ne sais pas, entre 1 et 4 ans par exemple.

Olivier Reumaux

Alors, il y a déjà un projet, qui a été réalisé la semaine dernière puisqu’on a commencé à planter des arbres fruitiers, et donc on est devenu arboriculteurs tout d’un coup. On commencé par de la prune et de la pêche.

Dorothée Falières

Au détriment de la vigne ?

Olivier Reumaux

Pas au détriment de la vigne parce que ce sont des terres qu’on a récupérées chez des voisins qui ont arrêté la viticulture. Et un autre projet qui est celui de planter des asperges qui vont se planter au mois d’avril donc qui vont arriver pour la récolte de 2024 les premières et puis ça va continuer 2025…

Dorothée Falières

Vous avez un sol assez sableux pour l’asperge ?

Olivier Reumaux

On a des sols qui conviennent parfaitement aux asperges et qui donneront certainement de bonnes asperges aussi bien qualitativement que quantitativement.

Dorothée Falières

Alors j’ai envie que vous m’expliquiez un petit peu parce que nos auditeurs sont souvent un peu perdus ; qu’est ce que l’agroécologie. On parle beaucoup d’écologie, mais qu’est ce le bio et l’agroécologie ? En fait, il y a un peu une différence.

Olivier Reumaux

Alors, il y a une différence, certes, elle existe.

Alors le bio c’est le suivi d’un cahier des charges de suivi qui est européen, donc ça c’est un peu cartésien, on suit le cahier des charges et, à l’intérieur de ça, on est certifiés en bio ou pas.

L’agroécologie est un concept qui est beaucoup plus vague, qui n’a pas de définition technique précise, mais qui consiste entre autres et en particulier à avoir toujours des sols couverts de végétation.

C’est à dire qu’on sème des engrais verts systématiquement derrière toute culture ; derrière les pommes de terre qui sont arrachées entre le mois de juillet et le mois de septembre. On va semer des engrais verts, dans les vignes, des engrais verts…

Le sol est toujours couvert de façon à ce qu’il soit protégé d’une part, des aléas climatiques, mais aussi qu’ils puissent toujours profiter du soleil et de l’énergie qu’ils profitent et redonner, quand les engrais verts vont se décomposer, repartir dans le sol.

C’est surtout ça que veut dire l’agroécologie.

Dorothée Falières

Olivier Reumaux, est ce que vous pouvez me donner un exemple concret d’une action que vous menez vous-même et, lorsque les auditeurs vont vous entendre, ils vont se dire « Ah tiens, c’est quelque chose de simple qu’il me donne à faire et j’ai envie de m’y mettre ». Qu’est ce que vous pourriez donner ? Un exemple simple.

Olivier Reumaux

Il y a une chose toute simple c’est, quand vous achetez vos produits, tout simplement acheter des produits locaux. Acheter du bio c’est bien mais il faut l’acheter localement.

Acheter de la pomme de terre bio qui vient d’Egypte parce qu’elle est précoce ou acheter certains produits qui viennent de l’autre bout du monde parce que c’est bio, ce n’est pas du tout la bonne manière de voir les choses.

Il vaut mieux acheter des produits conventionnels locaux, même si je suis un grand militant du bio, mais il est important de voir l’origine du produit en plus de celle d’être bio. C’est tout simple.

Dorothée Falières

Olivier Reumaux, merci d’avoir répondu à notre invitation et de nous avoir fait partager votre métier d’agriculteur et comment, grâce à votre conversion, vous prenez soin de nous et de notre maison commune.


Je retourne sur la page actualités


Opération serre !

Opération serre


Cette année, une nouvelle partenaire de taille est arrivée au Château. Indispensable « collaboratrice », cette serre de 50 mètres accueillera, cette année 2023, nos futures tomates !

Arrivée nouvelle serre

Un « puzzle » à monter soi même


Son arrivée était attendue ! 1ère étape, le déchargement de notre « dame de fer ».

Épreuve qui demande maîtrise et minutie au manitou pour ne rien abimer (merci Nicolas) !

Plantation des amarres


Après avoir repéré l’emplacement puis effectué les repères, place à la plantation des amarres qui nous permettront de fixer les arceaux de la serre

L’ingéniosité d’Olivier a encore frappé en adaptant la tarière en planteuse d’amarres. Du temps et de l’énergie économisés !

Fixation de la barre centrale


La barre centrale (ou entretoise) permet de lier les arceaux entre eux et ainsi de consolider la structure.

C’est en binôme que Cristina et Leïla ont réalisé cette opération indispensable à la bonne tenue de la serre.

En parallèle, les barres de soutien (jambes de force et croix de saint André) et les chaînes sont fixées.

Serre terminée !


Une fois la structure métallique fixée, place au bâchage de la serre. Il nous faut un beau temps et pas de vent pour une mise en place optimale. La bâche tirée, cordages et clips sont nécessaire à la bonne tenue de la bâche afin qu’elle résiste aux intempéries (pluie, vent).

Après le passage du tracteur pour le travail du sol à l’intérieur de la serre, nous finirons par le montage des portes. C’est par la suite que nous fixerons les barres de cultures latérales pour y faire grimper nos futures tomates édition 2023.

Vous avez dit fruits ?

Vous avez dit fruits ?


Nouveau projet qui se concrétise pour toute l’équipe du Château le Parvis ! Cette année, une trentaine d’arbres on été plantés (et semés !) Beaucoup d’organisation et de techniques employées pour que ces derniers poussent dans les meilleures conditions. On vous explique tout !

Avant la plantation


Sous solage futur verger

Le sous solage


Après avoir semé et laissé pousser les engrais verts, place à la sous soleuse.

Cet outil permet d’ameublir le sol sans le retourner. Ce travail a pour but d’avoir un sol aéré afin de favoriser un meilleur enracinement de nos futurs arbres.

Le métrage


Afin de faciliter les futurs passages de tracteur, il est indispensable d’aligner nos futures plantations !

Nous réalisons donc le métrage puis repérons les emplacements avant d’effectuer les trous.

Métrage pour plantation des futurs arbres

Ca creuse, ça creuse !


Tracteur et tarière nous permettent de creuser à bonne profondeur en toute « simplicité » les trous.

Respecter le métrage est crucial pour avoir des rangs alignés !

Le savoir-faire et la précision d’Olivier priment la encore !

Tout est prêt pour planter !


C’est sous l’œil avisé d’Olivier que les 11 reines claudes, 3 plaqueminiers, 3 mirabelliers et 9 pruniers ont été plantés ! Nous avons testé également le semis direct pour les nectariniers.

Ces arbres mènent le Château le Parvis dans une nouvelle ère : celle de l’arboriculture !

Les travaux de janvier dans les vignes

Les travaux de janvier dans les vignes


L’hiver la nature semble à l’arrêt, rien ne semble pousser. En réalité pour le bon observateur il n’en est rien ! La nature a déjà commencé à préparer le printemps. Les premiers crocus sortent de terre depuis mi-janvier suivis de près par les noisetiers qui ont sorti leurs fleurs très discrètes quelques semaines plus tard. Et qu’en est-il de la vigne ?

Entre les rangs


Les engrais verts semés à l’automne s’enracinent lentement.

Les engrais verts sont des plantes semées en contre saison de la pousse de la vigne, semés en octobre et enfouis en mars.

En poussant l’automne et l’hiver ils ne concurrencent pas la vigne, captent du carbone et de l’azote de l’atmosphère pour le restituer au sol au printemps.

Aussi, par leur feuillage, ils protègent le sol de la battance des pluies hivernales, par leurs racines ils favorisent l’infiltration de l’eau dans sol et le sous sol.

Ainsi ils sont un vertueux système.

Quant à la vigne, elle est encore en état végétatif, elle se « repose » et prépare sa pousse.

Elle attend des températures supérieures à 12 °C (parfois certains après midi) pour accumuler lentement dans ses sarments de la sève nourricière.

Engrais verts dans les vignes

Travaux manuels


Taille de vigne

Aussi pour le vigneron le repos est de courte durée. La taille et le tirage de bois s’enchaînent de décembre et dureront jusqu’à début mars. Gare aux étourdis qui profiteront trop de la cheminée !

Quant aux travaux du sol, ils attendront les beaux jours. Le sol, cet élément si fragile, est malmené par les pluies hivernales abondantes et les grands froids. Trop humide le sol va se lisser par le passage des outils et se compacter avec les engins. Attendons donc un peu.

Même la neige tombée de ce 18 janvier ne nous a pas empêché d’accomplir nos tâches quotidiennes !

Brebis mises à contribution


Notre petit troupeau de brebis nous aide aussi à avoir un agro-système viticole performant pour le sol. Les brebis, en mangent l’herbe et en laissant des excréments fournissent au sol des nutriments dynamisant la vie du sol.

Vers de terres et autres arthropodes s’y raviront ! Ces derniers digèreront les nutriments afin de les rendre assimilables par les plantes. La boucle est bouclée !! Dans ce cycle de vie complexe qu’est le sol, chacun fait une partie du boulot !

Ça soutire, ça soutire !


On soutire, on assemble puis on laisse le vin au repos 10/15 jours puis dégustation puis de nouveau soutirage.

Il faudra 4 à 5 soutirages avant d’avoir les vins fin prêts à rester en bouteille, et pour certains de longues années.

Nous y travaillons ardemment !

Nos vins sont disponibles en pré-commande sur le site, par mail sur commande@chateauleparvis.fr, par téléphone au 05 56 20 15 62 et directement en magasin du mardi au vendredi de 16h à 19h et le samedi de 10h à 13h.
Plus d’infos >> ici <<

Concours photo Spécial Fêtes !

Participez à notre Concours photo Spécial Fêtes !


Envoyez-nous dès aujourd’hui et jusqu’au 01 janvier 2023 une photo spéciale fêtes avec une de nos bouteilles de vin.
Notre jury se rassemblera pour élire les 2 meilleures photos.
Nous publierons notre verdict le 17 janvier 2023.
Les 2 meilleur(e)s photographes gagneront 1 Magnum 2020
avec une dédicace spéciale de notre vigneron préféré !

Il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous et d’y joindre votre photo !

Toute l’équipe du Parvis vous souhaite de Joyeuses Fêtes de fin d’années
A vos appareils ! 🙂

L’hiver au Château

L’hiver au Parvis : une saison plus … tranquille ?


vigne gelée

Avec le moment de repos de la végétation, les vignerons sont moins dans l’euphorie de la belle saison avec son lots d’urgences.

Nous voilà dans les travaux d’hiver ; ils sont nombreux mais peuvent, contrairement aux travaux de la pleine saison, être étalés sur 3 mois. Mais gare aux cigales qui se dorent la pilule près de la cheminée !

Le printemps est implacable vers le 15-20 mars, avec les beaux jours, les bourgeons de vigne sortiront. Et là, plus question de travaux d’hiver ! Tout devra être terminé !

Aussi, la météo parfois hostile et les journées courtes nous invitent à la réflexion, à se poser pour d’une part, faire le point sur l’année écoulée puis bien préparer le devenir de la saison nouvelle.

La taille de vigne


Dans les vignes, le tailleur dans le silence de l’hiver, au rythme de 800 à 1000 ceps (pieds de vigne) quotidiens, devra faire son ouvrage.

Par temps frais, venteux ou pluvieux ; le rythme hebdomadaire devra être tenu.

Manitou

On répare les dégâts !


Puis il faudra remettre en état tout les palissages ; réparation des fils cassés, évacuation des piquets cassés et remplacement de ces derniers,..

Notre tracteur et notre manitou sont nos principaux alliés dans cette tâche !

Également le moment est à l’entretien. Bordures et haies devront également être taillées.

La période des soutirages


A certains moment le vigneron tailleur se mue en maître de chai, lui aussi bien actif. C’est le moment, après l’euphorie de vinification, de faire les soutirages et préparer les vins au mieux à aborder les rigueurs de l’hiver.

Dégustations obligatoires !


Viens aussi le verdict des dégustations des cuvées primeur.

Les nez, les yeux, les palais, dans un silence religieux sont ainsi appelés à un verdict franc et honnête.

Nous voilà un temps dégustateurs appelés à juger et jauger notre propre ouvrage…

Qualité du vin

Comme vous le voyez, L’hiver est un grand moment d’activité mais aussi d’intensité intérieure pour les vignerons. Grâce à tout cela, nous vous offrons ainsi dans vos bouteilles un nectar de passion.

Pour vous permettre de passer les fêtes, voici la liste des vins disponibles.

Chapons et poulardes disponibles en pré-commande !

Commandez vos Poulardes et Chapons fermiers des Landes pour les fêtes !


Les réservations des poulardes et chapons se feront jusqu’au 7 décembre 2022
et seront à récupérer entre le mercredi 14 et le samedi 17 décembre 2022.
Le prix est fixé à 13 € le kg pour la poularde et de 14€ le kg pour le chapon (plusieurs poids disponibles)
Réservez dès à présent en remplissant le formulaire ci-dessous ; vous règlerez lors de votre passage.

Note : les volailles sont avec les abats. Elles proviennent de l’élevage de Mr François de Lesdain à Saint Sever dans les Landes.
Elles ont la double certification IGP et Label Rouge

Réservations clôturées.
Rendez-vous l’année prochaine pour les réserver !

Succès du marché fermier grâce à vous, merci !

Succès du marché fermier grâce à vous, merci !


Une journée mémorable dans l’histoire du Château le Parvis qu’a été ce samedi 15 octobre 2022. Vous avez été nombreux(ses) à venir et nous vous en remercions.

Merci également aux petites mains qui nous ont aidées ainsi que les producteurs présents :

Charlotte de Bocerno qui vous a fait craquer avec ses délicieux cookies et ses sublimes huiles de noix,

Alison de la Chevri’air qui vous a régalé avec ses précieux fromages de chèvre,

Maryline du Food Truck MÂÂ qui a su égayer vos papilles en sublimant les légumes du Château !

Nous partageons ces quelques clichés de cette journée ensoleillée pleine d’énergie et de bonne humeur.

Vous êtes producteur ou vous connaissez un producteur
qui serait intéressé par notre marché fermier ?
N’hésitez pas à nous contacter en cliquant >> ici <<


Retour sur la page des actualités


3ème édition de notre marché fermier ce samedi 15 octobre au Château !

Marché fermier du Château le Parvis
ce samedi 15 octobre 2022 !


Toute l’équipe du Château le Parvis vous invite ce samedi 15 octobre de 10h à 16h pour notre marché fermier automnal !

A l’occasion de cette 3ème édition, vous retrouverez nos vins, nos légumes et nos œufs, mais pas que ! D’autres producteurs de la région nous ont rejoint (voir ci-dessous).

Des visites de nos chais et de nos cultures seront assurées par Olivier entre 14h et 16h.

La restauration sur place est prévue grâce à Maryline du MÂÂ Foodtruck qui nous concoctera de délicieux plats réalisés avec les légumes du Parvis !

Producteurs présents


La Chevri’Air


Nous accueillons pour cette édition Alison, productrice de fromages de chèvre à St Genès de Lombaud.

Véritable passionnée, c’est avec plaisir qu’elle vous fera découvrir ses fromages produits grâce au lait de ses 44 chèvres.

Pour en savoir plus sur la Chevri’air : page facebook.

Huiles Bocerno


Laissez-vous séduire par les douces huiles de noix de Charlotte !

Les huiles produites par Charlotte et son équipe sont d’une qualité exceptionnelle. Telle une œnologue, elle saura faire voyager vos papilles à partir d’une simple cuillère de ce délicieux élixir 🙂

Vous seront proposées également farine de noix (idéale en pâtisserie) et noix.

En savoir plus sur Bocerno : site internet et page facebook

Restauration sur place


MÂÂ Foodtruck


Maryline vous fera voyager avec sa cuisine inspirée de la Thaïlande, du Vietnam et de Bali.

Cuisinés avec les légumes du Château le Parvis, elle vous proposera du bœuf au basilic thaï accompagné de riz (ou curry de légumes au lait de coco), des nems au poulet et des samoussas végétariens.

Les desserts ne sont pas en reste avec ses délicieux fondants au chocolat et cheese cake citron spéculoos faits maison et avec amour !

En savoir plus sur le MÂÂ Foodtruck : page facebook

L’image a été récupérée sur le site Place to be.

D’autres producteurs peuvent encore se rajouter à cette liste dans la semaine 😉


Retour sur la page des actualités


Cadillac tour édition 2022

Dégustation de nos vins en plein Bordeaux avec le Cadillac tour 2022 !


Un rendez-vous incontournable !

Devanture de la CUV Saint Michel à Bordeaux

Retrouvez Nicolas à la CUV Saint Michel, 7 place du Maucaillou à Bordeaux dans le quartier Saint Michel pour une dégustation de nos vins ce jeudi 13 octobre 2022 à partir de 17h à l’occasion de la 4ème édition du Cadillac tour de Bordeaux.

Véritable moment d’échange avec le public, cet évènement est une véritable opportunité de faire connaître notre appellation Côtes de Bordeaux.

Une occasion de découvrir ou redécouvrir nos différents millésimes accompagnés des conseils de dégustation de Nicolas et d’une bonne ambiance garantie !

Nous tenons à remercier le Syndicat Cadillac Côtes de Bordeaux pour son article à l’occasion de cet évènement.

Mais qu’est ce que le Cadillac tour ?

C’est un véritable évènement pour les viticulteurs des appellations Cadillac Côtes de Bordeaux, Cadillac et Premières Côtes de Bordeaux !

Ce rassemblement permet aux amateurs (et connaisseurs !) de vins de rencontrer les viticulteurs de ces appellations et de déguster (gratuitement) leurs vins chez des cavistes de Nouvelle Aquitaine.

Les images de cette article sont tirées du site de la CUV Saint Michel.


Retour aux actualités


Vendanges 2022

Vendanges 2022


Les vendanges 2022 se sont terminées il y a quelques jours.

Commencées bien précocement (au mois d’Août), elles se sont poursuivies à un rythme normal d’un cépage tous les 7 à 10 jours.

Cela permet de laisser à chacun d’entre eux le temps de prendre sa pleine maturité. Nous avons commencé par les cépages blanc (le Sémillon et le Sauvignon blancs), poursuivi par le Merlot, puis le Cabernet Franc pour terminer par le Cabernet Sauvignon.

Afin de fêter dignement tous ces jours de labeur par le froid hivernal puis le bien chaud été 2022, il nous tarde de fêter la Gerbaude* édition 2022 !

* A l’origine fête de la fin des moissons, le terme « Gerbaude » a été transposé dans la région bordelaise comme étant la fête de fin des vendanges. Elle réunit toutes les personnes ayant participé à la culture et aux vendanges de l’année écoulée.

Tendances du millésime 2022


La quantité

La quantité sera bien faible.

Ceci est en partie dû au long été sans pluie notable qui est passé par là !

Le dicton : « C’est août qui fait le jus » est révélé bien exact. 10 mm de pluie seulement accumulé à juillet déjà bien sec aussi n’ont pas beaucoup aidé.

La qualité

Elle sera au rendez vous !

Toutefois il faudra s’attendre à un profil assez différent de d’habitude ; les tanins sont très présents et très mûrs.

Comme toutes les années sèches, l’acidité est manquante. Ce sera donc un vin très présent dès sa jeunesse mais son potentiel de vieillissement ne dépassera sans doute pas 6 à 8 ans.

Comptez sur Nicolas, Maître de chai, sous l’œil avisé d’Olivier pour vous préparer un millésime 2022 dont vous vous souviendrez !


Retour aux actualités


Ramassage des courges

Ramassage des courges


Ça y est ! La récolte a commencée ! Nous n’avons pas été trop de 4 pour les ramasser ! Technique rapide et efficace dont voici le secret (vidéo).

Courges spaghettis, Rouges vif d’étampes (spécial Halloween !) et Butternuts ont été récoltées.

Nous attendons encore un peu pour ramasser les potimarrons qui finissent tranquillement leur croissance.

Vous retrouverez bientôt nos courges sur nos étals !


Retour aux actualités


Astuces pour vous aider à choisir le bon melon

Astuces pour choisir le bon melon !


Nous connaissons tous le melon Charentais avec sa chair orangée sucrée mais plein d’autres variétés existent !
En plus du melon Charentais, nous cultivons cette année du melon jaune Canari et du melon Retato Degli Ortolani.

Mais lequel choisir ?

Chacun a ses particularités et nous allons les découvrir ensemble.

Le melon Charentais


Fruit phare de nos étals l’été, le melon Charentais est sûrement le melon le plus connu en France.

Très caractéristique avec ses stries vertes et sa peau relativement lisse, nous les récoltons lorsque sa teinte passe du vert au jaune et lorsque le pédoncule est craquelé.

Sa chair orange est sucrée et juteuse. Ce melon est particulièrement parfumé.

Il ne se conserve pas longtemps, il faut le consommer rapidement après achat.

Le melon jaune Canari


melons jaunes canari

Ce melon commence a se faire une place sur les étals de l’été.

Pour les amoureux de l’Espagne, il n’a aucun secret pour vous ! En effet, il est omniprésent sur les marchés espagnols.

C’est une variété de melon à chair blanche et très sucrée qui est récoltée lorsqu’il est aussi jaune qu’un canari (d’où son nom) !

Il est de grande taille et est d’excellente conservation (comme une courge). En le laissant au frais (dans une cave ou un frigo), il pourra ravir vos papilles en automne / hiver !

Le melon Retato Degli Ortolani


Melon Retato Degli Ortolani

Melon très peu connu en France, le melon Retato Degli Ortolani est une variété traditionnelle italienne.

C’est un melon dit « brodé » (de par sa peau). Il est de forme oblongue comme un ballon de rugby.

Il est récolté lorsque son écorce prend un reflet doré.

Sa chair est orangée et son goût est très fin.

Contrairement à son homologue Charentais, le Retato Degli Ortolani a une bonne capacité de conservation.


Retour aux actualités


Magnifique spectacle dans les vignes

Magnifique spectacle dans les vignes


La véraison, qu’est ce que c’est ?


La véraison est la période durant laquelle le raisin change de couleur ; du vert au noir en passant par des nuances de parme pour les rouges et du vert au jaune pour les raisins blancs.

Ce mélange de teintes nous offre un magnifique panel de couleurs.

Cette année, la véraison avance bien et annonce des vendanges prometteuses malgré la sécheresse. Les vendanges approchent donc à grands pas !


Retour aux actualités


La courgette ronde : un concentré de douceur !

La courgette ronde : un concentré de douceur !


Courgette ronde

Souvent cantonnée à la courgette farcie, la courgette ronde est souvent boudée des consommateurs.

Pourtant, sa douceur fait d’elle la courgette idéale pour toutes vos recettes ! En poêlée, en gratin, en quiche … elle s’adapte à tout.

Passé cette idée reçue, vous ne pourrez plus vous en passer !

Recettes de courgettes proposées sur le site



Retour aux actualités


Succès de la 2ème édition des saisonnades

Succès de la 2ème édition des saisonnades


Merci !

Vous avez été nombreux à être présents pour cette 2ème édition de notre saisonnade. Merci beaucoup !

Merci à Wilfried du Lilie’s Burger qui a assuré la restauration sur place avec ces burgers aux légumes du Château !

Souffrantes, Gaëlle la boulangère de Quinsac et Isabelle alias Mamie Zinzin n’ont malheureusement pas pu être présentes.

On espère vous revoir pour la prochaine saisonnade qui aura lieu en Octobre (date à définir) avec toujours de la restauration sur place et (on espère ! ) d’autres producteurs !

Découvrez quelques clichés de cette journée ensoleillée dans la galerie ci-dessous 🙂


Retour aux actualités


Saisonnade du Château le Parvis ce samedi 9 juillet 2022 !

Saisonnade du Château le Parvis
ce samedi 9 juillet 2022 !


Toute l’équipe du Château le Parvis vous invite ce samedi 9 juillet de 10h à 16h pour notre saisonnade estivale !

A l’occasion de cette 2ème édition, vous retrouverez nos vins, nos légumes et nos œufs, mais pas que ! D’autres producteurs de la région nous ont rejoint (voir ci-dessous).

Des visites de nos chais et de nos cultures seront assurées par Olivier de entre 14h et 16h.

Afin de gagner du temps, vous avez la possibilité de commander votre panier en ligne et venir le récupérer le jour J !

La restauration sur place est prévue grâce à Wilfried du Lilie’s Burger qui vous proposera un burger réalisé avec les légumes du Parvis !

Autres producteurs présents


Mamie Zinzin


La volonté d’Isabelle est de travailler artisanalement les fruits et légumes sélectionnés auprès des producteurs bio de proximité (dont nous !). Un gage de qualité et de sécurité!

Elle sélectionne prioritairement des producteurs bio locaux du Sud Ouest.

Laissez-vous tenter par ses préparations originales dans le respect et la valorisation du fruit/légume originel.

Pour en savoir plus : Site internet de Mamie Zinzin

Galinette, pain au levain naturel


Reconversion professionnelle réussie !

Gaëlle s’est installée il y a quelques mois à Quinsac où elle prépare entre autre pains au levain naturel, brioches et pains sans gluten…

Jeune, souriante et dynamique, ses pains savoureux vous feront craquer !

Pour en savoir plus : Page facebook de Galinette, pain au levain naturel

D’autres producteurs se rajouteront à cette liste dans la semaine 😉


Retour sur la page des actualités


On fête le vin ce week-end à Bordeaux !

Bordeaux fête le vin, le Château le Parvis aussi !


Bordeaux fête le vin : le chateau le parvis aussi !

Olivier et Nicolas vous accueilleront ce samedi 25 juin de 16h à 20h sur les quais de Bordeaux au Stand 1 à l’occasion de l’évènement « Bordeaux fête le vin » !

Vous y dégusterez nos vins Bordeaux rouges, Claret d’une nuit et Bordeaux blanc accompagnés des précieux conseils dégustation de nos experts !

A samedi !

En savoir plus sur l’évènement : https://www.bordeaux-fete-le-vin.com/

Édition 2022 de la Foire des Vignerons de Bertrix

Édition 2022 de la Foire des Vignerons de Bertrix


Amis ardennais bonjour !

Comme chaque année, retrouvez-nous à la foire des vignerons de Bertrix, place des 3 fers le vendredi 22 avril de 18h à 20h, le samedi 23 avril de 14h à 22h et le dimanche 24 avril de 11h à 19h.

Olivier et Nicolas seront ravis de vous accueillir sur leur stand pour vous faire découvrir et/ou redécouvrir nos vins (blanc, rouge et claret d’une nuit).

Et comme on est très gentils, on vous offre une petite surprise !


Voir toutes les actualités


Les Sarments solidaires

Les Sarments Solidaires


Ce vendredi 28 janvier, la vaillante équipe de l’association « Les Sarments Solidaires » sont venus au Parvis ramasser nos sarments et pieds vigne afin de les conditionner en sac pour vos barbecues.

Courageusement ils ont affronté le froid de ce jour sans soleil a ciel très bas, un peu morose. Mais la bon-humeur y était … vécue !!

Les produits de ces ventes sont offerts au profit d’ associations caritatives des domaines de la santé (enfance en particulier) et de la lutte contre la pauvreté.

Pour en savoir plus : http://les-sarments-solidaires.saintmedardasso.fr/


Voir toutes les actualités


On s’arrache !

Allez, on s’arrache !


Les générations changent. Ce jour de janvier nous achevons l’arrachage de 35 ares de vignes de cépage Merlot.

Après avoir données le meilleur d’elles-mêmes 31 ans* durant, il est temps de penser au renouvellement des générations.

Comme nous avons pour habitude de le faire, cette parcelle va être consacrée plusieurs années à d’autres cultures pour enrichir le sol : de la luzerne pendant 2 ans puis des cultures légumières pendant 3 à 4 ans (pommes de terre, fèves, …).

Lors de la future plantation de vigne, la terre sera ainsi reposée de toute culture de vigne évitant de toxiques traitements chimiques pour débarrasser le sol de virose et autres parasites hôtes de la vigne.

 

C’est ainsi que s’opère la rotation des cultures au Château le Parvis. Cette technique de rotation pourtant très ancienne, et de bon sens ne se pratique plus en Gironde.

 

Les vignerons de notre contrée ont boudé les autres cultures, et se sont embourgeoisés dans la monoculture vigne …

 

Olivier

Suivez la suite des évènements avec le ramassage des sarments et des pieds de vignes par l’association les Sarments Solidaires !


* Arracher des ceps que j’ai moi-même planté il y a 31 ans fait bien sûr un pincement au cœur en plus de rappeler le temps qui galope …
cela devrait me faire grandir en sagesse … devrait !


Voir toutes les actualités


Conserves en vente sur place !

Conserves camblanaises en vente sur place !

On est tous devenus « zinzin » !


Afin d’élargir notre gamme de produits au magasin, nous vous proposons des conserves de légumes produites par la conserverie artisanale Mamie Zinzin située à Camblanes et Meynac tenue par Isabelle.

Les légumes composant ces délicieuses recette viennent de producteurs bio et locaux (dont nous faisons partie).

C’est donc tout naturellement que nous proposons les conserves de Mamie Zinzin dans notre magasin !

Les produits proposés au magasin


Les veloutés

Les tartinables

Les caviars


Foire de Bertrix les 19 et 20 juin

Foire de Bertrix les 19 et 20 juin 2021

Amis Belges, bien le bonjour !


Enfin ! Les foires sont de retour !

En respectant les règles sanitaires bien sûr, Florence et Olivier vous accueilleront sur leur stand les 19 et 20 juin 2021 de 10h à 20h !

En cette occasion nous vous avons réservé une surprise !

Pour ne pas perdre de temps, réservez directement votre commande en ligne et venez la récupérer directement à la foire !

Vous n’allez pas à la foire mais voulez nous passer commande ? Pas de problèmes ! Pour plus de 36 bouteilles commandées Olivier vous livrera gratuitement à domicile.

Votre commande peut également être livrée gratuitement à un point de livraison proche de chez vous (à définir lors de la confirmation de commande).


Solidarité paysanne

Solidarité paysanne

Tracteur embourbé, gel dans les vignes, prêt d’outils,… autant de services échangés qui font la richesse de l’entraide entre paysans vignerons…

Amitié sans faille


Jean-François est un ami de très longue date (40 ans déjà…). Nous avons usé nos shorts sur le banc de l’école de viticulture, la célèbre Ecole de La Tour Blanche en Sauternais.

Il viendra avec sa merveilleuse machine (tracteur et pré-tailleuse) en Janvier pour préparer la taille et grandement faciliter le travail pénible et harassant de la tombée des bois*.

* tombée des bois : consiste à enlever les sarments du rang de vigne après la taille. Ils sont ensuite mis au sol pour être broyés et retournent au sol comme divin humus.

Ah la gadoue, la gadoue, la gadoue…


Le téléphone sonne. A la vue du nom affiché c’est Thierry notre très sympathique voisin vigneron du Château Brethous de Camblanes. Toujours un mot pour rire celui-là !!

Thierry : Salut Olivier ça va ?

Moi (Olivier) : Pas si mal sauf que le temps n’est pas à la fête !!! ce mois de février est bien trop pluvieux tu ne trouves pas ?

Thierry : Pour nous ça va. Mais on a besoin de ton aide, on a embourbé le tracteur et on n’arrive pas à se sortir. Peux-tu venir avec ton tracteur et le grand câble pour nous remorquer ?

Moi : (sur un ton moqueur) No stress mon ami ! Je dis à Nicolas de te rejoindre avec le tracteur. Il arrive dans 1/2 heure.

Pour ma part je ferais mieux de ne pas faire le fanfaron car la prochaine fois je sais bien que ça sera certainement à notre tour de demander leur aide !! Je viendrai leur demander un outil aratoire*, un outil d’atelier, ou bien nous faire remorquer. Avec des météos pluvieuses comme cet hiver on est vite en situation compliquée.

* outil aratoire : outil servant au travail du sol

Nuit de stress à Camblanes…


… ce qui a été également le cas dans beaucoup d’autres coins …

En effet un retour de froid hivernal a eu raison d’une partie des bourgeons naissants. Que d’espoirs déçus… Mais plus que tout ce qui nous réconforte est la solidarité paysanne.

Après 2 fins de nuit à tenter de réchauffer l’atmosphère avec de vieux pieds de vigne, nous prenons chaque fois un temps convivial entre voisins.

Si les feux ont réchauffé que très légèrement l’air ambiant, ils auront au moins servi au barbecue de côte d’agneau, ventrèche et œufs au plat.

Le tout s’accompagne d’un vin rouge Camblanais du Château Brethous 2016 : un délice pour vous remonter le moral !

A la pointe du jour, et malgré tout l’effort de la nuit, la sensation de se dire que nous avons perdu une partie de la récolte, se noie ainsi dans l’amitié.

Jamais sans le Claret !


Ainsi va la solidarité agricole active et l’entraide entre voisins, en résumé l’amitié. Et toutes ces situations finissent toujours autour d’un verre de Claret d’une nuit.

Et Le Claret a cette merveilleuse fonction, il délie les langues.
Assez vite le ton de la conversation prendra de l’ampleur puis tout son sens quand on maudira ceux qui pondent autant que nos poules des nouvelles règles, normes ou taxes à tout va … Et ça c’est comme la solidarité agricole, c’est tout le temps !!

Le dicton du moment :« S’il te prend l’envie de déprimer, bois du Claret !! »

Poules et salades au milieu des vignes

Poules et salades au milieu des vignes

20 mars 20 à Sud Ouest

Poules et salades aumilieu des vignes - article Sud Ouest du 21 mars 2021
Viticulteur, Olivier Reumaux n’a pas attendu la crise viticole pour se convertir en bio et diversifier sa production. Il témoigne sur ce retour à la polyculture-élevage

« Je vous présente le Glyphopoule ». En plus d’être pince-sans-rire, Olivier Reumaux est un viticulteur atypique. Certains de ses voisins le lui ont bien fait comprendre quand, dans les années 90, il a décidé de convertir ses vignes en agriculture biologique. « Certains ne m’ont plus parlé, c’est dur d’être précurseur ». Son père l’a aussi regardé d’un drôle d’œil. Mais déterminé, le vigneron de Camblanes-et-Meynac, sur la rive droite s’est lancé. Les scandales du poulet à la dioxine ou de la vache folle lui ont donné raison, le regard des consommateurs et donc la demande ont changé.

Alors que la viticulture girondine traverse une nouvelle crise, la demande en vin bio continue à être soutenue. La clientèle de particuliers belges et français du Château Le Parvis de Dom Tapiau lui est fidèle.
Pas logique de faire de la monoculture

Certains viennent directement chercher leurs bouteilles sur l’exploitation. Depuis une dizaine d’années, ils peuvent repartir avec des artichauts, des tomates ou des salades. « J’avais envie de changer de métier. Ce n’était pas logique de ne faire que de la monoculture. Je faisais déjà mon potager et les clients nous demandaient s’ils pouvaient nous acheter des légumes. J’ai senti une demande » Comme il l’avait fait au début de sa carrière, Olivier Reumaux a pris son bâton de pèlerin et est allé rencontrer d’autres maraîchers déjà installés.

Pommes de terre, salades, tomates, radis, oignons, fèves se sont mis à pousser sur les trois parcelles situées à Camblanes, à Meynac et dans les palus en bord de Garonne. Ils se vendent tous les jours sur la ferme, complètent les paniers d’Association pour le maintien d’une agriculture paysanne (AMAP) et nourrissent les écoliers des quatre villages des alentours.

Le vigneron-maraîcher trouvait qu’il lui manquait quelque chose. Alors il a introduit un élevage de poules, 249 et pas une de plus, les règles vétérinaires sont très strictes.

 » Il ne faut pas se diversifier par défaut et mieux vaut avoir un moral d’acier « 

Le retour de l’assolement

La serre des légumes, comme le poulailler, sont régulièrement déplacés dans l’exploitation au gré des rotations des cultures. Un assolement qui a déserté les pratiques culturales de la très viticole Gironde. « Mes poules et les quelques brebis que nous avons pour notre consommation personnelle nettoient les vignes et fertilisent les sols. J’ai une terre fabuleuse. C’est cette agronomie qui nous fait vivre », se félicite le Camblanais à la tête d’une exploitation de cinq personnes.

Pour Cristina et Pauline, les deux employées de la ferme, cette diversité de productions permet d’éviter toute routine. « N’être que dans les vignes ou que dans la serre serait fastidieux. Là, on ne fait jamais la même chose. Cela permet de tourner », apprécient-elles.

Alors que la Chambre d’agriculture de Gironde encourage les viticulteurs à se diversifier (lire ci-dessous), Olivier Reumaux reconnaît que « ce n’est pas évident de passer d’une culture pérenne à des cultures annuelles. La vigne, on la plante pour 25 ou 30 ans, le cycle de vie d’une salade, lui, est de 60 jours. Le rythme de travail n’est pas le même. Devenir maraîcher, ce n’est pas juste avoir un grand potager, il faut avoir des notions d’agronomie et d’économie. Il ne faut pas se diversifier par défaut et mieux vaut avoir un moral d’acier ».

Jamais à court de projets, Olivier Reumaux aimerait désormais se lancer dans l’arboriculture. Mais pour cela il lui faudrait trouver des terres. Et sur un secteur en pleine expansion, la mission est difficile. « Ceux qui en possèdent ne veulent pas de fermiers. Ils attendent que leurs terres deviennent constructibles… »


Je retourne sur la page actualités


Mise en bouteille 2021

Mise en bouteille 2021

C’est fait !! et ce fut la 30ème dans ma modeste carrière de vigneron. 

La mise en bouteille des nouveaux millésimes est faite : Rouge 2019 Blanc 2020 et Claret 2020.

Ils seront à la vente dès le 06 mars 2021. Le blanc et Claret sont 2 belles réussites qui raviront tous les palais.

Pour apprécier le rouge 2019, il vous faudra patienter quelque temps. Sa belle puissance tannique lui conférera une belle longévité.

Quelques photos et vidéos sur notre site vous feront comprendre l’intensité de ce moment intense qui est l’apothéose  de 2 ans et demi de travail.  


Photos



Vidéos



Voir toutes nos actualités


Sous des airs de Victor Hugo…

Sous des airs de Victor Hugo…


Dans le frais brouillard, les travailleurs commencent leur ouvrage. Il est à peine plus de 8 heures, le soleil perce juste et laisse lentement monter les brumes de la Garonne.

Les mains ont froid. Le corps s’active, le cœur bat plus fort, mais notre outil de travail, nos mains, ont encore froid. Jusqu’à 11 heures.

Tel est le quotidien des travaux hivernaux. À Pauline et Nicolas est confiée la récolte des navets et des poireaux.
Leurs yeux experts sauront cueillir les bons.

Récolte longue et fastidieuse. Une à une, les premières fines peaux des poireaux sont retirées, pour les rendre présentables.

Satanés poireaux !

Pour ma part je m’adonne à l’un de mes gestes favoris : les semailles à la main.

Ce geste peux paraître dérisoire, et pourtant… Refaire ce geste, appris de mon père et reproduit par tant de générations de paysans, est émouvant.

Loin de toutes les technologies les plus avancées, c’est cette simplicité de travail qui prépare les récoltes futures.

Ce geste ne s’explique pas, il se vit…

Pauline récolte navets

Chaque sensation a son impact. Celle du pied, lors la marche lente et régulière, qui au contact la terre nourricière, sait dire si le lit de semence est suffisamment moelleux.

Celle de la main, calée sur le rythme régulier du pas, qui pioche les grains dans le panier avec son bruit si particulier.

Puis la main jette la semence avec adresse. La répartition des grains, la réussite du semis, dépendra de l’ouverture progressive des doigts, de la dextérité du semeur en somme.

L’œuvre est solennelle, elle prépare le pain de demain. Devoir de mémoire, j’initierai Nicolas à ce savoir-faire ancestral.

Les odeurs sont un réel plaisir. Le nez vibre quand la terre hume bon la fraicheur et l’humus fertile. Enfin, comble de beauté, alertés par les cris, nous verrons passer des migrateurs.

Elle est là, la vie simple des gens de la terre.

Olivier Reumaux


Voir toutes nos actualités


De la terre à l’assiette – Restaurant scolaire de Camblanes et Meynac

De la terre à l’assiette –
Resto scolaire de Camblanes et Meynac

16 octobre 2020 sur France 2

Présenté par France 2, « De la terre à l’assiette » a mis en avant la démarche biologique du restaurant scolaire de Camblanes et Meynac avec qui nous travaillons. Ici, ce sont nos courgettes et melons qui sont mis à l’honneur !


Je retourne sur la page actualités


Cadillac tour 2020

Cadillac Tour 2020, nous voilà !

Cadillac Tour 2020

Retrouvez Nicolas le 14 octobre  à partir de 16 h 30 dans les locaux de l’agence Cocoonr 36 rue Borie à Bordeaux dans le cadre du Cadillac Tour.

Vous pourrez y déguster toute notre gamme de vin (rouges blanc et clairet bien sûr) ainsi qu’un Cadillac liquoreux du Domaine de Lavialle à Donzac.

Une vraie Cadillac passera y faire également un tour !

A très vite !

Plus d’informations sur le Cadillac Tour ici.

Vendanges suite et fin !

Vendanges, suite et fin !


Après la vendange et le pressurage du cabernet franc pour le Claret d’une nuit 2020, nous avons terminé les vendanges cette semaine en récoltant le cabernet sauvignon !

Étape n°1 : récupération du raisin dans la cuve – un « volontaire » rentre dans la cuve pour y sortir le raisin au fond de la cuve.

Étape n°2 : le pressurage – récupération du jus de raisin restant grâce à une presse exerçant jusqu’à 350 bars de pression !

Étape n°3 : le rebêchage – on met le marc de raisin dans une autre cage pour le presser une 2ème fois.

Étape 4 : tour de marc de raisin – une fois pressé et rebêché, Nicolas nous réalise de magnifiques œuvres d’art avec le marc de raisin 😉

« Ce n’est plus de saison ! »

Vous avez dit Melon ???

En effet c’est chez nous encore la pleine saison du melon délicieux. Ils enchantent tout le monde, même les charmantes têtes blondes des écoles du secteur.

Sa saveur cette année est exceptionnelle. Il faut dire que les terres que nous cultivons sont difficiles travailler à bien des égards mais très favorables à cette culture de mi et fin de saison. Régalez vous !!

Les pastèques, de la même famille botanique, les cucurbitacées, se plaisent bien aussi fort bien.

Accompagnés d’un verre de Claret d’une nuit en dessert, comme en entrée ou encore à l’apéritif, ils sont divins … A vos gamelles !

Vendanges Merlot 2020

Vendanges Merlot 2020

C’est accompagné d’un soleil de plomb que nous avons vendangé le 15 septembre le Merlot.

Suite aux attaques très virulentes du mildiou de ce printemps et à la sécheresse de cet été, les rendements de ce cépage sont faibles.

Le Merlot 2020 sera probablement de dégustation atypique.

Faites confiance aux talents vinificateurs de Nicolas pour nous en faire une très bonne cuvée !

Le Cabernet Sauvignon et le Cabernet Franc sont prévus pour les semaines suivantes : la suite au prochain épisode 😉

Price Based Country test mode enabled for testing France. You should do tests on private browsing mode. Browse in private with Firefox, Chrome and Safari